Guislain
Barrois &
|
Guislain
Barrois 1630-1681
&
Marie
Deleplanque 1640-1703
|
Jean-François
Barrois 1663-1731
Notaire,
Grand Bailli et Receveur du comté de Brias pendant 31 ans
Bourgeois d'Arras &
Catherine
Legrand
|
Dont
deux branches :
Les Henri Barrois 1790-1870 &1820 Adélaïde Le Thierry 1802-1833
Quelques illustrations et alliances:
François-Joseph Barrois 1759-1848
Baptisé le 23 Mars 1759,
fils de Jean-Baptiste et de Marguerite Lucet, filateur de coton, épousa le 25
Octobre 1785, Alexandrine-Joseph VIRNOT, baptisée paroisse Saint-Etienne le 14
Septembre 1765. Le texte de leur contrat de mariage est rapporte dans le Caducée
et le Carquois. En 1790, François Barrois fit pour ses affaires un voyage en
Italie au cours duquel il échangea avec son épouse, une délicieuse
correspondance qui, publiée récemment, remit le couple en évidence. I1s
habitaient originairement rue des Malades (de Paris) une maison avec grand'
porte et quatre fenêtres à coté de leur petit magasin. Ils s'installèrent
ensuite dans un très grand hôtel, 45, rue de Tournai. Les salons, situes au
premier étage donnaient sur une terrasse et un escalier qui descendait a un
vaste pare. « François Barrois avait des idées plut6t Voltairiennes ». Son
buste se trouvait jadis chez M. Theodore Barrois-Demesmay. Les archives
Départementales conservent un plan de cette propriété, dresse en 1820 par
François Barrois (Quarre-Reybourbon p. 79). Le Chemin de fer du Nord
l'expropria pour y établir sa gare, les propriétaires furent indemnisés par des
titres qui les firent les plus gros actionnaires de la Compagnie après les
Rothschild. Mais le chagrin qu’Alexandrine Virnot en ressentit ne fut pas sans
hâter sa fin. II jouissait en outre d'une très grosse fortune en terre du
chef de sa femme. Mme DELESALLE-DUBUS. Etat des tableaux et objets d'art de sa
propre succession, Président de la Chambre et du Tribunal de Commerce,
Conseiller Municipal en I807, adjoint en I8I8,puis Maire de Lille par
ordonnance royale du 12 Août I830, Député du Nord en 1824 et en 1831,il fut
l'un des principaux actionnaires-fondateurs du chemin de fer du Nord et des
Mines de Lens ;Henry-Louis DUBLY : Le Caducée et le Carquois. Lille,
édition du Mercure de Flandre, Monographie rédigée par Charles Le Thierry
d’Ennequin en 1930.
Henri Thomas Barrois
1790-1870
épouse, en première noces
Adélaïde Le Thierry (1802-1833), fille de Charles Le Thierry d’Ennequin,
écuyer et de Catherine Charlotte Virnot puis Rosalie Félicie Virnot, fille de
Pierre Urbain Virnot, membre de la Chambre de commerce de Lille et de Rosalie
de Raismes dont Jules Alix Barrois.
Charles Eugène Barrois
(1851-1939)
Le fils de Jules-Alix, était
Commandeur de la Légion d’honneur, de l’Ordre d’Isabelle la Catholique,
officier de l’ordre de Léopold de Belgique, docteur Es Sciences, professeur à
la Faculté des Sciences de Lille, docteur en Sorbonne, membre de l’Institut,
membre de la Société royale de Londres, président de l’Académie des Sciences.
Jean-Marie Joseph Barrois
(1884-1967),
Le fils de Charles-Eugène,
fut chevalier de la Légion d’honneur, chevalier des palmes académiques,
médaille des épidémies, docteur en médecine, médecin ; il épousa Germaine
Julie Prouvost (1893-1987), fille de Paul Joseph et Louise Masurel et habitait
l’ancien hôtel de M et Mme Huot van den Straeten, 20, rue des Jardins à
Lille.
Leurs deux fils sont
Charles Marie Barrois, Né en 1913, chevalier de la Légion d’honneur, docteur en
droit, maire de Fontaines les Grès, et Jean Joseph Marie Barrois, docteur en
médecine, électroradiologiste, attaché des hôpitaux de paris, ex moniteur de
physique médicale de la faculté de médecine de Paris.
Dont Jean-Louis
Barrois, notaire à Lille, dans l’étude Jean Louis BRIDOUX
Jean-Louis, BARROIS Jean-Louis, LOOCK Nathalie, DANJOU Michaël, qui s’occupe de
la famille Virnot depuis l’Ancien Régime ; un de ses ancêtres Virnot y eut
une fonction d’associé.
Marcel Pierre Marie Joseph
Barrois ,
Fils d’Henri François
Barrois 1863-1927
et de Marguerite
Céline Adèle Decoster 1865-1953,
petit fils Henri Joseph
Barrois 1833-1872
et Julie Jeanne
Virnot 1839-1908,
Bertrand, dans la
Résistance, diplômé HEC, licencié ès sciences, industriel, officier de réserve,
chevalier de la Légion d'Honneur, croix de guerre 39-45, médaille de la
Libération, chevalier de l'Ordre de Léopold de Belgique, président des Anciens
Combattants de l'Allier, président du Centre d'Entraide des Prisonniers de
Guerre au Ministère du Travail de Vichy, prisonnier de guerre en Allemagne à
l'Oflag 3C, surnommé " Bertrand ", animait un réseau de Résistance
(tendance Giraud), membre de l'Organisation de la Résistance de l'Armée, membre
avec François Mitterrand du " Comité des Cinq ", il présenta François
Mitterrand au maréchal de France Philippe Pétain, arrêté et dénoncé à la
Gestapo, il est torturé et condamné à la déportation au camp de Dachau 45 ans.
C'est lui le 3ème homme qui figure sur la célèbre photo de la rencontre entre
François Mitterrand et Philippe Pétain. Le Mouvement National des Prisonniers
de Guerre et Déportés (M.N.P.G.D.) est un Mouvement de la résistance française,
lors de l'occupation de la France par les nazis en 1940-1944.François
Mitterrand en est le chef, et la plupart de ses subordonnés sont des amis ou
des proches de celui-ci, rencontrés pendant ses études à Paris, au stalag IX A,
ou en 1942-1943. Le mouvement est divisé en deux aires géographiques,
correspondant aux anciennes zones occupées et non occupées. Le nord est dirigé
directement par François Mitterrand, le sud par Étienne Gagnaire. Jean Munier
est responsable du service Action. Marcel Barrois est responsable des relations
avec les maquis. Arrêté le 30 avril 1944, il meurt dans le train qui l'emmène à
Buchenwald. Marcel Haedrich dirige le journal du mouvement, L'Homme libre.
André Bettencourt s'occupe de l'antenne genevoise du mouvement, avec l'appui de
Pierre de Bénouville, et Allen Dulles, chef de l'Office of Strategic Services
pour l'Europe, qui participe au financement du MNPGD. « Il occupait un
emploi à Vichy dans le service de reclassement des prisonniers libérés qui
étaient peu nombreux mais dont le nombre allait être grossi des prisonniers
évadés. Il était responsable de cet organisme avant novembre 1942 pour la
région centre de la zone non-occupée, capitale Vichy.
Tout naturellement après
novembre 1942 cet organisme se doubla d’un réseau clandestin destiné à soutenir
les évadés et à les soustraire aux recherches de la police allemande et ses
sbires français.
Il avait des activités
très larges puisqu’il faisait parvenir aux prisonniers candidats à l’évasion,
dissimulés dans des colis, des fausses pièces d’identité, copies falsifiées de
pièces allemandes. Dissimuler un document dans un colis aux prisonniers était
une pratique courante. Rappelons que le général Giraud avait reçu ainsi dans la
forteresse de Königstein à titre de pièce d’identité, en vue de son évasion, un
faux permis de conduire allemand au nom d’un homme d’affaire alsacien fictif.
Puis ce réseau de résistance clandestin se développa et s’étendit à toute la
France. « Ce 3 ème personnage s’appelait Marcel Barrois. Dans les semaines
qui ont précédé la libération, M. Barrois devait rencontrer à Paris un membre
du réseau. Malheureusement il ignorait qu’un autre membre du réseau avait été
arrêté dans les jours précédents et la gestapo se présenta au rendez-vous. M.
Barrois fit partie d’un des derniers trains de la mort à quitter la France et
mourut pendant l’interminable transport en Wagon à bestiaux. Je tiens cette
histoire d’un ami qui est le gendre de M. Barrois. Mais il paraît que son
histoire est rapportée dans un livre écrit par M. Jean Thomas, déporté
lui-aussi qui a recueilli dans le wagon les derniers souffles de ce résistant
héroïque. « Jusqu’à un doux petit
ruisseau » de Jean Thomas. Imprimerie Lecerf. Édité avec l’appui du Conseil
Général de Rouen (1995). Le doux petit ruisseau était la traduction française
du lieu-dit en Allemagne où les wagons de ce train déversèrent leurs moribonds.
(Vaihingen près de Karlsruhe ?). « Les mains jointes » de Rémy 1948
« Le train de la mort » de
Bernadac » Il était le petit fils de Julie Jeanne Virnot et le cousin
germain de Jean-Marie Joseph Barrois (1884-1967) époux de Germaine Prouvost.
Sa fille Monique Barrois,
Lille, religieuse de la Congrégation des
Petites Soeurs des Pauvres ; son autre fille, Dorothée Barrois, 1927-
2011 mariée avec Jean Deruelle, vers
1925- 2001 polytechnicien, directeur aux Charbonnages de France, dont Nathalie Deruelle, Creutzwald (Moselle), ENS,
professeur à l'Ecole Polytechnique, directrice de l'Observatoire de Meudon.
Enfin, Christine Barrois mariée avec
François Magerand, colonel.
Quelques autres illustrations et alliances:
Michel Barrois, né le 27 février 1895,
Lille décédé le 3 janvier 1975,
Lille (79 ans), ingénieur civil des Ponts & Chaussées, marié le 24 septembre 1921,
Valenciennes avec Geneviève
Marie Antoinette Vasseur.
Françoise
Barrois, mariée en
1946, Mons-en-Baroeul avec François Giard,
né le 1er mars 1914,
Saint-André-lez-Lille décédé le 30 mai 1995,
Lille (81 ans), archiviste paléographe, libraire à Lille,
Geneviève
Barrois, Lille religieuse des Dames de la Sagesse.
Janine Barrois, Lille, mariée en 1962,
Marcq-en-Baroeul avec Pierre Vassel,
Amiens (Somme), directeur de la Compagnie Française de Radiologie.
Marcel Barrois, né le 30 mai 1900,
Lille exécuté le 2 mai 1944,
dans le train pour Dachau, inhumé, Lille (43 ans), industriel, chevalier de la
Légion d'Honneur, croix de guerre 39-45 avec avec Hélène Marie
Joséphine Vasseur, née le 2 janvier 1904,
Valenciennes décédée le 8 décembre 2000,
Lons-le-Saunier (Jura), inhumée, Moulins (Allier) (96 ans), décoratrice,
Monique
Barrois, née le 10 juillet 1926,
Lille, religieuse de la Congrégation des
Petites Soeurs des Pauvres.
Dorothée
Barrois, née le 2 août 1927,
Lille décédée en février 2011 (83 ans), mariée avec Jean Deruelle,
né vers 1925, décédé en 2001 (peut-être 76 ans), polytechnicien,
directeur aux Charbonnages de France.
Christine
Barrois, Lille, mariée avec François
Magerand, Fontainebleau, Seine-et-Marne, colonel.
Bruno Barrois, né le 6 mars 1936,
Lille tué le 23 octobre 1966,
Port-Harcourt (Nigéria), inhumé, Moulins (Allier) (30 ans), ingénieur des Arts
& Manufactures.
Marie Paule
Barrois, née le 21 mai 1890,
Lille, décédée le 27 avril 1988,
Lambersart (97 ans), mariée le 21 octobre 1911,
Lambersart , avec Guy Fauchille,
né le 20 juillet 1885,
Lille décédé le 28 septembre 1971,
Lambersart (86 ans), filateur de coton ; elle est l’auteur de mémoires sur
sa famille : « Vos aïeux que j’ai connus ».
François
Barrois, juge à la Cour d'Appel de Douai, marié avec Nicole Danjou,
Les Henri Barrois 1790-1870
&1840 Félicie Virnot 1817-1886
Edouard Félix
Barrois, né le 20 août 1840,
Lille, décédé le 13 juin 1891
(50 ans), marié le 2 septembre 1868,
Lille, avec Louise Marie
Valérie Sagnier, née le 6 octobre 1849,
Toulon (83), décédée en 1932 (83 ans), dont
Édouard
Antoine Barrois, né le 14 octobre 1869,
Fives , décédé.
Quelques illustrations et alliances:
Jeanne Barrois, née le 26 mars 1871,
Lille - Fives, décédée, mariée le 29 janvier 1895,
Lille, avec Auguste
Asselin de Williencourt, né le 6 août 1863,
Douai , décédé le 18 décembre 1937,
Toulon (83, Var) (74 ans).
Lucie Marie
Clothilde Barrois, née le 16 juin 1878,
Lille, décédée en 1959, Seine et
Marne (81 ans), mariée le 19 août 1897,
Lille, avec Maurice
Durosoy, né le 3 mars 1869,
Grenoble, décédé en 1943, Berck sur Mer, Pas de Calais (74 ans), colonel
de cavalerie, aide de camp du Maréchal Lyautey.
Maurice Durosoy « est un officier général français, né en
1898 et décédé en 1988, collaborateur de Lyautey au Maroc et combattant de la
Libération.
Né dans une famille de militaires, d'hommes d'Eglise et de
philosophes, Maurice Durosoy s'engage volontairement à dix-sept ans dans
l'Armée française, en 1915. Après l'armistice, il entre à Saint-Cyr, dans la
promotion des Croix de Guerre.
A sa sortie de l'Ecole, il devient officier des Affaires
indigènes au Maroc pui chef du bureau politique de la Résidence générale en 1924.
C'est alors qu'il devient aide de camp puis chef de cabinet du maréchal Lyautey
de 1924 à 1934, qu'il considèrera toute sa vie comme son mentor. Après la mort
du Maréchal, il est envoyé en mission à Rio de Janeiro. Puis il rejoint
l'Afrique du Nord avec le grade de commandant et fait la campagne de la
Libération avec la 1ère Armée française du Rhin et du Danube.
En 1945, il prend la direction de l'Ecole de Saumur. Général de
brigade en 1947, il devient directeur du cabinet du maréchal Juin, après quoi
il est nommé attaché militaire à Londres et membre du comité militaire de
l'O.T.A.N. Il termine sa carrière comme inspecteur général de la Défense
intérieure et membre du Conseil supérieur des forces armées.
Il est général de corps d'armée quand il passe en deuxième
section. Mais sa retraite n'est pas inactive : il préside le Comité des amitiés
africaines et l'Académie des sciences d'outre-mer.
Vice-président de l'Association des écrivains de langue
française, il publie notamment une Histoire de l'Ecole de Saumur et plusieurs
études consacrées à Lyautey : Lyautey, mon général (1956), Avec Lyautey, homme
de guerre, homme de paix (1976), et enfin un monumental Lyautey, maréchal de
France : 1854-1934 (1984). » Wikipédia.
Les Théodore Barrois 1792-1851 &1822 Catherine Henriette Demesmay 1806-1872,
Fils de François-Joseph Barrois
1759-1848 et Marie Alexandrine Joseph
Virnot 1765-1845
Théodore Charles
Barrois
Né le 10 février 1857 à
Lille, mort le 9 juin 1920 à Neuilly-sur-Seine. Il fut député du Nord de 1898 à
1906.
Avant de songer à la députation, Théodore Barrois fit une brillante carrière
universitaire. Docteur en médecine et ès sciences naturelles, maître de
conférences à la faculté de médecine et de Pharmacie de Lille, dès 1885, il fut
reçu en 1886 à l'agrégation et nommé professeur de zoologie à la même faculté.
Il devait occuper ce poste huit ans (d'octobre 1886 au 12 novembre 1894),
jusqu'à ce que fût créée à son intention une chaire de parasitologie.
L'enseignement ne lui faisait pas oublier la recherche. De divers voyages
accomplis comme naturaliste, en Laponie (avril-août 1881), en Palestine et en
Syrie (mars-juin 1890), et d'un séjour à la station de zoologie maritime de
Concarneau, il rapporta les éléments le plusieurs monographies. Ses travaux
portèrent notamment sur les crustacés et les échinodermes, sur les
lamellibranches (1885), sur les rotifères (1895), sur les insectes et la faune
des eaux des Açores (1896), sur les ténias (1897).
Il avait 41 ans lorsque, délaissant la science pour la politique, il se
présenta pour la première fois aux élections législatives. Sa carrière
parlementaire fut assez effacée. Elu député de la première circonscription de
Lille, le 8 mai 1898, par 9.127 voix sur 16.542 votants, au premier tour de
scrutin, il appartint à diverses Commissions et à la Commission du travail. On
lui confia la rédaction d'un certain nombre de rapports de validation. Il eut
ainsi l'occasion d'intervenir, le 8 juillet 1898, pour défendre au nom du
dixième bureau, la validation de M. Meunier, député de la première
circonscription de Meaux, à qui un adversaire malheureux reprochait des
distributions d'argent et de denrées alimentaires au cours de la campagne
électorale. La Chambre adopta par 317 voix contre 206 les conclusions au
rapporteur. Trois ans plus tard, au cours de la discussion d'un projet de loi
concernant les taxes de remplacement des droits d'octroi de Roubaix, Théodore
Barrois intervint de nouveau pour préciser dans quelles conditions le conseil
municipal de Lille avait élaboré, un projet de réforme des octrois.
Réélu aux élections générales du 27 mai 1902, par 10.323 voix sur 17.314
votants au premier tour de scrutin, Théodore Barrois continua à participer aux
travaux de la Commission du travail, mais ne prit pas la parole en séance
publique. Sa discrétion à la Chambre peut s'expliquer par l'importance des
jonctions administratives qu'il exerçait à l'Institut Pasteur lillois et au
Comité central des houillères de France. fonctions qu'il conserva jusqu'à sa
mort.
Quelques illustrations et alliances:
|
Caroline
Barrois, mariée en 2004, en la cathédrale
Saint-Lazare d'Autun (71, Saône-et-Loire), avec Adrien
Vanbremeersch, Paris 14ème , analyste finance et stratégie.
Béatrix Barrois, fiancée avant le
1er mai 1960 avec Hubert Ruffier
d'Épenoux, né le 20 juin 1931,
Saumur , tué le 1er mai 1960,
Redja (Constantinois, Algérie) (28 ans), lieutenant d'arme blindée (le mariage
n'eut pas lieu suite au décès du fiancé en Algérie). Puis mariée avec Jacques de
Montgolfier, Saint-Marcel-lès-Annonay (07),
Dominique
Barrois, colonel (e.r.), marié
en 1962,
Trèves-Cunault (Maine-et-Loire), avec Agnès de Damas,
Sousse (Tunisie), dont Ségolène
Barrois mariée avec Pascal Chatard, Xavier Barrois,
ENA (Nelson Mandela), administrateur civil.
Gustave
Barrois, né le 10 août 1829,
Fives décédé le 25 mars 1885,
Lille (55 ans), filateur de coton,
marié le 10 mai 1858,
Lille avec Marie
Henriette Charvet, née le 22 août 1838,
Lille décédée le 27 février 1916,
Dinard, Ille-et-Vilaine (77 ans), dont
Gustave Joseph
Barrois, né le 26 mars 1860,
Lille décédé le 15 août 1920,
Marquillies (60 ans), filateur, fabricant sucre, agriculteur, maire de
Marquillies, marié le 8 décembre 1884,
Marquillies avec Elise Brame,
née le 1er mars 1865,
décédée le 17 décembre 1925,
Lille, Nord (60 ans).
Fanny Barrois, née le 4 juillet 1913,
Marquillies décédée le 24 juillet 2006,
Grasse, inhumée le 28 juillet 2006,
Bormes-les-Mimosas (Var) (93 ans), mariée le 8 janvier 1934,
Wavrin avec Michel
Détroyat, né le 28 octobre 1905,
Paris, décédé le 5 octobre 1956,
Neuilly-sur-Seine , inhumé, Saint-Pierre d’Irube, 64 (50 ans), aviateur, pilote
d'essai, virtuose de voltige aérienne, champion de courses de vitesse, mariée le 15 juin 1957,
Bormes les Mimosas (83, Var), avec Hubert
Schlienger, né le 11 août 1906,
Grasse .
Jacqueline
Barrois, née le 17 octobre 1914,
Wizernes (62), mariée le 20 juin 1936
avec Antoine Sala,
né le 8 octobre 1897,
Bayonne, , amiral, de l'Académie de Marine.
Les François
Alexandre Barrois 1801-1868
&1822 Clotilde Marie Virnot
1801-1868
Il est administrateur des
hospices et du bureau de bienfaisance à Lille.
Dont Jean Baptiste
Barrois, né le 28 janvier 1824,
Lille, décédé le 19 août 1872
(48 ans), marié le 12 novembre 1855,
Bruges, avec Elisabeth
Chalant, dont
Quelques illustrations et alliances:
Clémentine
Barrois, née le 2 novembre 1856,
décédée en 1879 (23 ans), mariée le 20 juin 1874
avec Raymond Théry,
né le 25 août 1848,
notaire.
Cécile
Alexandrine Barrois, née le 15 octobre 1825,
Lille, décédée le 23 mai 1883
(57 ans), mariée le 5 août 1851
avec Oscar Dubus,
né en 1818, Orchies 59, décédé le 14 mai 1871,
Lille (53 ans), bâtonnier de l'Ordre des Avocats.
Branche cadette Guislain
Barrois
Les Emile Barrois 1875 & Henriette Sion 1880-1966
Quelques illustrations et alliances:
Brigitte
Barrois, mariée avec Jacques
Crépelle, né vers 1926, décédé le 14 février 2009,
Marcq en Baroeul, inhumé le 19 février 2009,
Marcq en Baroeul (peut-être 83 ans), chef d'entreprise,
Marie Thérèse
Barrois, religieuse.
Marc-Antoine Barrois,
Ingénieur textile, jeune et atypique, Marc-Antoine Barrois cherche à lancer un
concept de Haute Couture masculine. Rencontre avant la présentation de sa
deuxième collection à Paris, en janvier. Les puristes trouvent cela ridicule :
de la Haute Couture pour homme ! Alors que l'appellation est réservée, - même
pour la femme - à une poignée de grandes maisons parisiennes. Pour l'homme, on
parle de "sur-mesure" ou de tailleur, mais Marc-Antoine Barrois et
son "binôme", Olivier Boileau Descamps, revendiquent la notion de
Haute Couture masculine. Simple argument marketing ou concept réellement
novateur ? Nous sommes allés nous rendre compte de visu dans le showroom de la
jeune marque de luxe.
Les Louis Barrois 1876-1963 & Marie-Louise Octavie Joseph Lepers
1880-1950
Demeures habitées par les
Barrois et alliés, rue du Faubourg de Roubaix à Lille :
N °137 :
démolie ; au 135 bis, demeure une belle maison bleu et blanc de style
Louis XVI
N° 135 :
Démolie ; reste un grand jardin
N ° 159 : remplacé
par un HLM en brique
N° 152, face au 159 ;
c’est un petit hôtel particulier de style Louis XV
N° 124 : bel hôtel
particulier à l’angle du 2 bis, rue Mehl
N° 211 : non
reconnaissable asauf les restes d’un grand jardin
N° 104 : grande
maison Louis XVI, grise, grand mur, porche
N° 106 : petite
maison étroite, pas belle.
Et à Roubaix :
Le 19, Grande Rue
29, Grande Rue,
16, rue Pellart
Estaires.
Marie-Paule
Fauchille-Barrois en a raconté l’hisoire et la vie dans son touchant :
« Vos aïeux que j’ai connus »
Légions d’honneur :
Barrois Charles Eugene, né
le 21/04/1851 à Lille
Barrois Félix Antoine, né
le 05/07/1830 à Cambrai
Barrois François Joseph,
né le 22/03/1759 à Lille
Barrois Henri Joseph, né
le 27/04/1863 à Burbure (Pas de Calais)
Barrois Henri Sylvestre,
né le 26/03/1840 à Saint Omer
Barrois Jean Baptiste
Joseph, né le 22/02/1784 à Lille
Barrois Jules Henri, né le
03/09/1852 à Lille
Barrois Paul Louis, né le
17/08/1873 à Lille
Barrois Theodore Charles,
né le 10/02/1857 à Lille
Barrois Theodore Urbain, né le 12/05/1825 à Lille.