Quelques illustrations de la lignée des
Masquelier
Branche ainée : Emile Masquelier, né le 19 avril 1825, Lille, décédé
le 29 mai 1899, Le Havre
(Seine-Inférieure) (74 ans), négociant, assureur, banquier, actionnaires de
diverses sociétés, marié le 18 octobre 1851, Lambersart
, avec Emilie Kolb-Bernard,
fille de Sophie Bernard, de l’ancienne famille de Lille, et Charles Kolb-Bernard, Député du Nord, sénateur
inamovible (1875-88), En 1849, il fut élu à la chambre des députés (département
du Nord), où il siégea très longtemps (1875). Le 12 décembre 1875, il fut nommé
sénateur inamovible par l'Assemblée nationale. Il introduisit en chancellerie
une demande qui lui fut accordée et qui l'autorisait lui et toute sa
descendance à porter le nom de Kolb-Bernard. En 1875, il soutint Mgr Dupanloup
et l'aida à conquérir la liberté de l'enseignement. Appelé par ses fonctions
politiques à résider à Paris, il continua à s'intéresser aux œuvres du Nord. Sources: - personne: E.Polti (Généalogie
Cordonnier + Anuaire des familles du NPdC + Parentèle de C. de Gaulle de
Valynseele) ancienne saisie
Emile
Masquelier, né le 28 juillet 1859,
Saint-Adresse, décédé le 14 octobre 1922,
Saint-Adresse (63 ans), lieutenant-colonel de cavalerie, marié le 17 février 1887,
Paris, avec Jeanne
Darcy, fille de Henry
Darcy,
Préfet, ancien membre du Coonseil d’état, fils d’un préfêt, et Adèle Hély
d'Oissel 1843-1925, fille Antoine Pierre
Hély d'Oissel,
Conseiller à la cour de cassation, président de la Compagnie de Saint-Gobain de
1852 à 1865, fils de Abdon Patrocle
Frédéric, baron Hély
d'Oissel et de l'Empire
(1er, 31 janvier 1810), né le 2 avril 1777,
Rouen (76), baptisé, Saint-Patrice de Rouen, décédé le 29 janvier 1833,
Paris (75) (55 ans), maître des requètes au Conseil d'Etat, conseiller à la
cour de cassation et président de Saint-Gobain.
Marguerite
Masquelier, née le 23 février 1889,
Paris, décédée le 18 janvier 1915,
Ste Adresse (25 ans).
Mariée le 17 février 1912,
Sèvres (92), avec René Altmayer,
né le 7 février 1882,
Versailles (78), décédé en 1976 (94 ans), d’une famille originaire de
Sarrelouis (Allemagne), général d'armée commandant la Xè armée en 1940, ESM Saint-Cyr,
promotion du Tchad., fils de Victor
Altmayer, Commandeur de la Légion d'honneur, Fils
d'un agronome, membre de l'académie de Metz et maire de la ville de 1843 à
1847, Entre à Saint Cyr en 1863, Sous lieutenant en 1865 au 26e RI. Entre à
l'école d'EM, Lieutenant d'EM. Effectue un stage au 7e Hussards. En janvier
1870 il est nommé au 35e RI qu'il rejoint en Italie 'protection des Etats
pontificaux).. Durant le guerre de 1870, il est rappelé en France à l'EM de la
1ere DI du 13e CA (Vinoy), puis après Sedan, il est nommé officier d'ordonnance
du général d'Exea. Le 2/12/70 au combat de Champigny, il recoit la LH pour
avoir fait annuler un ordre de retraite qu'il portait à une brigade.. Participe
au combat du Bourget.. Après la capitulation, il participe au siège contre la
Commune et est blessé le 28/4/71 devant le fort d'Ivry. En 1872, il est nommé
aide de camp du général Marnier Inspecteur général de la cavalerie en Algérie,
puis en 1874, du général de Rochebouet, commandant le 18e CA. En mars 1878 il
rejoint l'EMA, Chef de bataillon en 1880., il est nommé professeur à l'ESG, du
cours du service d'Etat major, Nommé chef d'EM de la division d'occupation de
Tunisie en 1886, il devient lieutenant colonel le 13/1/87, Colonel du 69e RI en
1890. De 1894 à 1895, il est chef d'EM du 9e CA, Général de brigade le 18/5/95
à la 46e brigade, Général de division le 8/3/01, il commande la 33e DI jusqu'en
1906, puis le 12e CA de 1907 à 1908. Il décède à son poste le 1/12/1908.ESM
Saint-Cyr, promotion du Danemark.Sources:- personne: H.Tourret (Saint-Cyr)
2.9.08, C.Chéneaux (HC Mars oct 08),
Geneviève
Masquelier, née le 10 octobre 1891,
Paris, 75, décédée, inhumée le 16 janvier 1972,
Paris, 75 (peut-être 80 ans), mariée
le 13 octobre 1919,
Sainte-Adresse, 76, avec Edouard
Lefebvre de Laboulaye, né le 25 mai 1883,
Paris, Administrateur de sociétés75, décédé le 25 janvier 1955,
Paris, 75 (71 ans), administrateur de sociétés, Fils de René
Lefebvre de
Laboulaye, Avocat,
Directeur de Caisse d'Epargne, Sous-chef de bureau au Ministère des
fincances (1874), chef de cabinet de Léon Say (1876-1878), administrateur
des Postes et Télégraphes, directeur de la Caisse d'épargne postale,
|
|
Officier de la Légion
d'honneur., fils de Édouard
Lefebvre de
Laboulaye, Membre de
l'Institut de France (Académie des Inscriptions et
Belles-Lettres, 1856), membre d'honneur (1848) de l'Académie des
Sciences, Belles Lettres, et Arts de Besançon, Sénateur
inamovible, de 1875 (élection par l'Assemblée nationale) à sa mort.Il
publie de remarquables études sur l'histoire du droit, est nommé à
l'Académie des inscriptions et belles-lettres, et au Collège de France
(1849). Plusieurs fois candidat libéral malheureux à la députation, il se
rapproche du régime impérial au début de 1870. Représentant du peuple de
1871 à 1875, et sénateur conservateur inamovible de 1875 à 1883.
(BdeRauglaudre, site de l'institut), Député de Paris, Instigateur en 1865
de la statue de la Liberté.
|
|
Jean
Masquelier, né le 7 mai 1909,
Rouen, 76, marié le 30 avril 1935,
Chaumont-d'Anjou (Maine-et-Loire), avec Jeanne
de Grimaudet de Rochebouët, petite fille de Gaston de Grimaudet de
Rochebouët, Conseiller général, issus de
l’ancienne famille de Grimaudet, seigneur de La Rochebouët et de La Croiserie.
Solange
Masquelier, née le 19 octobre 1937,
Sainte-Adresse (76, Seine-Maritime), décédée le 24 mai 2010,
inhumée le 28 mai 2010,
La Celle Saint-Cloud ( Notre-Dame de Beauregard) (72 ans), mariée le 22 septembre 1961,
Sainte-Adresse (76, Seine-Maritime), avec Henri-Noël Mayaud, " d'argent à un mai de sinople, soutenu
d'un croissant d'azur et accosté de deux autres croissants de même".
" crescrit in augmentum patriae" descendante de Paul Mayaud,
Député du Maine-et-Loire.
Jacqueline
Masquelier, née le 18 février 1940,
Chaumont-d'Anjou (Maine-et-Loire), Mariée le 30 mars 1963,
Sainte-Adresse (76), avec Laurent
Thillaye du Boullay, X 1959
(Armement) ; un de ses ancêtres était Louis
Thillaye,
Conseiller du Roi, sieur du
Boullay, achète le fief noble du Boullay et est anobli
par charge de conseiller-secrétaire du Roi en 1763. Sources: R.-W. Farwerck (Les Thillaye du pays d'Auge, avril
1994) 2-8-2009.
Branche cadette : Auguste Masquelier 1829-1907
& Clémence Verley
1836-1863 surtout par son fils
Georges 1860 & Marguerite Roland-Gosselin
1867-1948 dont Les Louis 1890-1976, Les Joseph 1893-1978, Les Antoine 1901
Pauline
Masquelier, mariée avec Henri
Toussaint, avocat au Barreau de Dijon,
Géraldine
Masquelier, comédienne.
Germaine Masquelier, née en 1895,
décédée en 1983 (88 ans), mariée
en 1921 avec Henri Chauchat,
Polytechnicien (X-1919 S), Directeur de la Société générale du magnésium, fils
de Louis
Chauchat,
Colonel d'artillerie, X 1883,
X-1883; Inventeur du Fusil Mitrailleur Chauchat C.S.R.G. Modèle 1915 L’armée
française entre en guerre en 1914 avec les mitrailleuses Saint Etienne et
Hotchkiss sur trépied. Trop lourdes, encombrantes, elles sont de plus servies
par plusieurs hommes. A partir de fin 1915, l'usine des Cycles Gladiator au Pré
Saint-Gervais fabrique ce F.M..Arme légère, de poids et d'encombrement limités,
le "FM Chauchat" pouvait être mis en œuvre par un seul homme. Calibre
8m/m Lebel. Chargeur de 20 cartouches. Refroidissement à air. Cadence de tir
théorique 240 coups minute De fabrication rustique, il fut souvent critiqué .
Il s’échauffait rapidement et donc fonctionnait plus régulièrement en coup par
coup ou par courtes rafales, enrayements fréquents, bipied instable, intrusion
facile de boue. Par contre, avec beaucoup de méticulosité de la part des
servants il fonctionnait correctement en le protégeant contre les intrusions de
boue et au prix d'une grande attention dans le choix et le remplissage des
chargeurs. Hélas, ce n’était pas le cas dans les tranchées!!! Sera surtout
distribué à partir de la bataille de VERDUN Le fusil mitrailleurMle 1915 CSRG.
Le sigle "CSRG" veut dire : Chauchat,Sutter, Ribeyrolles et
Gladiator. Le colonel Louis Chauchat,polytechnicien, et le Controleur d’Armes
Charles Sutter ont fait adopter cette arme a partir d’un prototype qu’ils
avaient developpe en 1911 a l’Atelier de Construction de Puteaux (APX). Paul
Ribeyrolles etait le directeur de l’usine des Cycles Gladiator,au Pre Saint
Gervais, qui a fabrique le plus gros des commandes des armees francaises et
americaines. Ces dernieres commandes sont intervenues en 1918. DescriptionLe FM
Chauchat fonctionne par long recul du canon. Il est refroidi par air. La
crosse, la poignée-pistolet et la poignée antérieure cylindrique sont en bois.
Son chargeur est semi-circulaire (modèle français M1915) ou cintré (M1918
construit pour l’US Army). Il tire du 8mm Lebel ou du .30-06 US. Les armuriers
militaires belges les convertirent en 7,65mm Mauser ; leurs homologues polonais
et yougoslaves firent de même pour la cartouche de 7,92mm Mauser. ProductionLa
production des 262 000 Chauchat M1915 et 18000 M1918 dura de 1915 à 1927 et
concerna 1es usines des Cycles Gladiator et Sidarme. DiffusionOutre l’armée
française, le CSRG fut utilisé par les soldats belges (6900 armes), grecs
(3900), polonais (chiffre inconnu), russes, et serbes. Durant la Grande Guerre,
le Corps expéditionnaire américain en France reçut 39000 M1915 et 18000 M1918.
Les Allemands l’utilisèrent aussi lorsqu’ils en capturaient. Durant la seconde
Guerre mondiale, il fut à nouveau utilisé par la France, la Finlande et la
Wehrmacht (stocks français polonais, grecs, yougoslaves ou belges). Données
numériques CSRG 1915* Munition : 8 mm Lebel * Longueur : 1,14 m * canon : 47 cm
* Masse : 8,7 kg * Chargeur : 20 cartouches * Cadence de tir théorique : 250
coups/min ; Sources:
- personne: R.Driant (P-Y.Leclerc
+ HC.Mars)
Antoine
Masquelier, né le 8 février 1901,
Lille, négociant en cotons à Mulhouse, marié le 14 avril 1928,
Mulhouse, avec Yvonne
Mieg,
Famille
Müye, Mueg, Müge, puis Mieg, sauf en France ou le nom s'orthographia
"Mique", La vieille famille patricienne de Strasbourg était
originaire du Sundgau et de Bâle où on la retrouve dès le début du XIII°
siècle, dans les villages de Muespach, Obermichelbach et Knöringen, puis
bourgeois de Bâle. Au début du XIV° siècle on les voits'établir à
Strasbourg où ils sont bâteliers et en relations d'affaires avec Bâle, ,
fille de Charles
Mieg,Manufacturier
à Bâle, Industriel à Mulhouse, Maison Ch. Mieg & Cie, fils de Jean
Mieg,
Manufacturier ; maire de Mulhouse
(1872-1887) ; membre du Conseil général de la Haute-Alsace et de la
délégation d'Alsace-Lorraine, Associé de la maison Charles Mieg &
Cie fondée par son père, Membre de la délégation d'Alsace-Lorraine
de1881 à 1901
Président du Conseil général du Haut-Rhin, Vice-président de la Chambre de
Commerce de Mulhouse, descendant de Mathieu Mieg, le Chroniqueur,
|
|
Il publia en 1816-1817 un ouvrage qui
lui valut le surnom de Chroniqueur : Der Stadt Mülhausen
Geschichten. On lui doit également Tagebuch einer Reise nach Italien
im Jahre 1794 (1802) et Relation historique des progrès de l'industrie
commerciale de Mulhouse et de ses environs (1823).
Il fut le plus célèbre occupant de la
fameuse "maison Mieg", propriété de la famille Mieg de 1679 à 1840,
qu'on admire aujourd'hui sur la bien mal nommée "place de la
Réunion", en souvenir d'un événement auquel Mathieu Mieg s'opposa
farouchement.
Chevalier de la Légion d'honneur.,
P.Deries (notes d'après la
généalogie Mieg de 1934, , Commerçant drapier, historien, peintre
et dignitaire de Mulhouse, Après quatre années d'apprentissage, à Morges pour
y apprendre la langue française, puis à Mulhouse dans la maison de commerce
de son père, Mathieu Mieg décida de se vouer à la carrière commerciale. Il
passa un an à Versailles, d'où il devait garder un attachement indéfectible à
la cause des Bourbon, puis entreprit une grande tournée à travers l'Allemagne
et la Hollande, avant d'être rappelé à Mulhouse par la mort de son frère
Jean, auquel il succéda à la tête de la maison de commerce paternelle, âgé de
vingt ans seulement.
La maison Mathieu Mieg & Fils
s'occupait alors principalement d'écouler à l'étranger la production des tissus
de laine de Mulhouse, notamment lors de foires de Berne et de Zurzach, près
de Baden. Il devait visiter cette dernière foire pas moins de cinquante fois
durant sa longue existence. Au cours de l'hiver 1780, il entreprit un premier
voyage en Italie, qui lui permit d'ouvrir de nouveaux débouchés à l'industrie
drapière de Mulhouse.
Durant la période révolutionnaire, il
lutta de toutes ses forces pour conserver à sa ville natale son indépendance
menacée. Il prononça dans ce but plusieurs discours devant le Conseil, et
s'acquitta avec succès, au printemps de 1794, d'une ambassade à Paris au nom
des drapiers de Mulhouse.
Mathieu Mieg s'était fait recevoir, le
23 février 1777, à la tribu des Agriculteurs. Il fut nommé échevin en 1780,
triumvir en 1781, sexvir en 1786, enfin zunftmestre en 1796, à la mort de son
père. En 1798, il ne put éviter le sacrifice de l'indépendance de sa ville
natale. Il fut l'un des quinze citoyens qui votèrent contre le traité de
réunion, et il s'opposa, comme maître de sa corporation, à la destruction de
l'ancien étendard des Agriculteurs, destiné à être enfoui au pied de l'arbre
de la Liberté.
Malgré ses multiples occupations,
Mathieu Mieg avait su donner à ses affaires une vigoureuse impulsion. Il
installa en 1809, avec le concours de son fils aîné Mathieu, un tissage de
draps à bras, qui fut complété en 1817par une filature mécanique. Plus tard,
il associa à ses affaires ses fils Jean-Georges et Jean.
Décoré par Louis XVIII
de l'ordre du Lys, il reçut du roi Charles X,
lors de son passage à Mulhouse en 1828, la croix de chevalier de la Légion
d'honneur. Grand amateur de tir, il occupa pendant de longues années la
présidence des Sociétés de tir à l'arbalète et au mousquet. Il était
également capitaine de la milice bourgeoise de Mulhouse. Il fut également, de
1820 à 1830, président du Bureau de bienfaisance de Mulhouse.
|
Monique
Masquelier, née le 28 février 1929,
Mulhouse (Haut-Rhin), décédée en 1972 (43 ans).
Mariée le 30 septembre 1950,
Mulhouse (Haut-Rhin), avec Edouard
Descamps, né le 24 novembre 1927,
Lille, industriel du lin à Lille, directeur à la Société Descamps l'Aîné,
administrateur de la Société Bénédictine, fils de Jacques
Descamps,
Industriel, filateur de lin et tisseur de toiles à Lille; administrateur des
Ets "Descamps l'Aîné", des Ets "Badin&Fils", du Crédit
du Nord, de la Société Bénédictine, d'Avenir Publicité et de D.M.C et Jeannine
Segard, fils d’Édouard
Descamps,
Filateur de lin à Lille; associé de la maison "Descamps l'Aîné";
administrateur du Crédit du Nord; maire de La Madeleine, Chevalier de la Légion
d’honneur
Marie
Masquelier, née le 14 novembre 1863,
Marcq-en-Baroeul , décédée le 20 janvier 1950,
Paris (86 ans).
Mariée le 9 juin 1885,
Lille, avec Jean Bernard,
né le 1er avril 1860,
Lille, décédé le 28 avril 1924,
Lille (64 ans), industriel raffineur de
sucre, vice-président de l'Université Catholique de Lille, cofondateur de
l'ICAM, président de l'Oeuvre de Notre-Dame de La Treille (sans postérité).
Nous pensons que se rattache : André Masquelier,
décédé.
Marié avec Cécile Virnot,
fille de Urbain Virnot
1897-1968 et Marie-Antoinette
Piat 1903-1971, dont Isabelle
Masquelier, née en 1965. Valérie
Masquelier, née en 1970.
Descendants de Jean-Baptiste Emile Masquelier
Jusqu'aux arrière-petits-enfants. Base
Roglo
Jean-Baptiste
Emile Masquelier, né en février 1803, Haubourdin (Nord), décédé le 11 avril 1867,
St Maur (36) (à l'âge de 64 ans).
Marié le 8 mars 1824,
Valenciennes (Nord), avec Pauline Cailliau,
née le 14 juillet 1798,
Valenciennes (Nord), décédée le 17 janvier 1868,
Lille (Nord) (à l'âge de 69 ans), dont
- Emile
Masquelier, né le 19 avril 1825,
Lille (Nord), décédé le 29 mai 1899,
Le Havre (Seine-Maritime) (à l'âge de 74 ans), négociant, assureur,
banquier, actionnaires de diverses sociétés.
Marié le 18 octobre 1851,
Lambersart (Nord), avec Emilie
Kolb-Bernard, née le 1er mars 1830,
décédée le 3 septembre 1906,
Sainte-Adresse (Seine-Maritime) (à l'âge de 76 ans), dont
- Marguerite
Masquelier, née le 14 décembre 1852,
Le Havre (Seine-Maritime), décédée le 4 janvier 1880,
Cannes (Alpes-Maritimes) (à l'âge de 27 ans).
Mariée le 28 janvier 1872,
Le Havre, avec Albert
Quesnel, né le 29 mai 1845,
Le Havre (Seine-Maritime), décédé le 21 février 1919,
Sainte-Adresse (Seine-Maritime) (à l'âge de 73 ans), ...
- Sophie
Masquelier, née le 11 janvier 1858,
Le Havre (Seine-Maritime), décédée le 4 septembre 1883,
Sainte-Adresse (Seine-Maritime) (à l'âge de 25 ans).
- Emile
Masquelier, né le 28 juillet 1859,
Sainte-Adresse (Seine-Maritime), décédé le 14 octobre 1922,
Sainte-Adresse (Seine-Maritime) (à l'âge de 63 ans), lieutenant-colonel
de cavalerie.
Marié le 17 février 1887,
Paris, avec Jeanne
Darcy, née le 28 juillet 1866,
Paris, décédée le 6 janvier 1944,
Paris (à l'âge de 77 ans), dont
- André
Masquelier, né le 17 janvier 1888,
Versailles (Yvelines), décédé le 1er février 1888
(à l'âge de 15 jours).
- Marguerite
Masquelier, née
le 23 février 1889,
Paris, décédée le 18 janvier 1915,
Sainte-Adresse (Seine-Maritime) (à l'âge de 25 ans).
Mariée le 17 février 1912,
Sèvres (92), avec René
Altmayer, né le 7 février 1882,
Versailles (Yvelines), décédé en 1976 (à l'âge de 94 ans), général
d'armée commandant la Xè Armée en 1940.
- Geneviève
Masquelier, née
le 10 octobre 1891,
Paris, décédée, inhumée le 16 janvier 1972,
Paris, 75 (à l'âge de peut-être 80 ans).
Mariée le 13 octobre 1919,
Sainte-Adresse, 76, avec Edouard
Lefebvre de Laboulaye, né le 25 mai 1883,
Paris, décédé le 25 janvier 1955,
Paris (à l'âge de 71 ans), administrateur de sociétés.
- André
Masquelier, né le 1er avril 1896,
Sainte-Adresse (Seine-Maritime), décédé le 13 mai 1896
(à l'âge de un mois).
- Pierre
Masquelier, né le 4 avril 1898,
Paris, décédé.
Marié avec Simone
Clerc, née le 9 avril 1893,
Paris.
- Jean
Masquelier, né le 7 mai 1909,
Rouen (Seine-Maritime).
Marié le 30 avril 1935,
Chaumont-d'Anjou (Maine-et-Loire), avec Jeanne de
Grimaudet de Rochebouët, née vers 1908.
- Pauline
Masquelier, née le 9 avril 1827,
Lille (Nord), décédée en 1908 (à l'âge de 81 ans).
Mariée en 1847 avec Eugène
Verstraete, né en 1817, décédé en 1905 (à
l'âge de 88 ans), filateur de lin, ...
- Auguste
Masquelier, né le 28 novembre 1829,
Lille (Nord), décédé en 1907 (à l'âge de 78 ans).
Marié avec Clémence
Verley, née le 15 décembre 1836,
Lille (Nord), décédée le 2 décembre 1863,
Marcq-en-Baroeul (Nord) (à l'âge de 26 ans), dont
- Auguste
Masquelier, né le 30 avril 1857,
Lille (Nord), négociant au Havre.
Marié le 20 octobre 1883,
Paris 8ème, avec Emilie
Véron-Duverger, née le 5 juillet 1859,
Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), dont
- Jacques
Masquelier, né
en 1889, décédé en 1966 (à l'âge de 77 ans).
Marié avec Marie-Françoise
Debains, née en 1891, décédée en 1969 (à
l'âge de 78 ans).
- Pauline
Masquelier.
Mariée avec Henri
Toussaint, avocat au Barreau de Dijon, ...
- Georges
Masquelier, né
en 1860.
Marié le 18 février 1889
avec Marguerite
Roland-Gosselin, née le 9 février 1867,
Neuilly-sur-Seine, 92, décédée en 1948 (à l'âge de 81 ans), dont
- Louis
Masquelier, né
en 1890, décédé en 1976 (à l'âge de 86 ans).
Marié avec Anne-Marie
Le Blan, née le 15 août 1894,
Lille (Nord), décédée le 12 février 1919
(à l'âge de 24 ans).
Marié avec Henriette
Bergeron.
- Denys
Masquelier, né
en 1891, décédé en 1915 (à l'âge de 24 ans).
- Joseph
Masquelier, né
en 1893, décédé en 1978 (à l'âge de 85 ans), négociant à
Mahwah, New Jersey.
Marié avec Suzanne
Thomas.
Marié avec Jacqueline
Mieg, née le 24 septembre 1910,
Mulhouse, Haut Rhin.
- Germaine
Masquelier, née
en 1895, décédée en 1983 (à l'âge de 88 ans).
Mariée en 1921 avec Henri
Chauchat, né le 22 octobre 1893,
Versailles (Yvelines), décédé le 21 février 1972
(à l'âge de 78 ans), directeur de société.
- Jean
Masquelier, né
en 1896, décédé en 1916 (à l'âge de 20 ans).
- Michel
Masquelier, né
en 1900.
Marié avec Alphild
Forseth.
- Antoine
Masquelier, né le 8 février 1901,
Lille (Nord), négociant en cotons à Mulhouse.
Marié le 14 avril 1928,
Mulhouse, avec Yvonne
Mieg, née le 26 octobre 1908,
Mulhouse, Haut Rhin.
- Clémence
Masquelier.
- Marie
Masquelier, née le 14 novembre 1863,
Marcq-en-Baroeul (Nord), décédée le 20 janvier 1950,
Paris (à l'âge de 86 ans).
Mariée le 9 juin 1885,
Lille (Nord), avec Jean
Bernard, né le 1er avril 1860,
Lille (Nord), décédé le 28 avril 1924,
Lille (Nord) (à l'âge de 64 ans), industriel raffineur de sucre,
vice-président de l'Université Catholique de Lille, cofondateur de
l'ICAM, président de l'Oeuvre de Notre-Dame de La Treille.
- Marie
Masquelier, née le 28 janvier 1840,
Lille (Nord), décédée après 1891.
Mariée avec Eugène
Loncke, né le 13 janvier 1834,
décédé le 6 avril 1891,
Nice (Alpes-Maritimes) (à l'âge de 57 ans), directeur particulier à Lille
de la Compagnie d'Assurances Générales,, ...
- Valéry
Masquelier, né le 9 avril 1844,
Lille (Nord), décédé le 2 novembre 1929
(à l'âge de 85 ans).
Marié le 20 novembre 1872
avec Marie Clerc,
née le 22 février 1853,
Saint-Lô (Manche), décédée le 17 janvier 1919,
Saint-Maur (Indre) (à l'âge de 65 ans), dont
- Georgette
Masquelier, née le 28 août 1873,
Saint-Maur (Indre), décédée le 24 août 1905,
Le Mans (Sarthe) (à l'âge de 31 ans).
Mariée le 6 mai 1897,
Saint-Maur (Indre), avec Maurice
Guibert, né le 16 décembre 1865,
Lorient (Morbihan), décédé le 12 octobre 1943,
Paris (à l'âge de 77 ans), ingénieur civil des Ponts-&-Chaussées, ...
- Joseph Jo
Masquelier, né
en 1882, décédé en 1918 (à l'âge de 36 ans).
- Solange
Masquelier, née
en 1889, décédée en 1940 (à l'âge de 51 ans).
Mariée en 1919 avec Jean Flûry,
né en 1879, décédé le 14 mai 1948
(à l'âge de 69 ans).
- André
Masquelier, né
en 1893.
Marié le 30 août 1924,
Tours ( Indre-et-Loire), avec Hélène
Lecointre, née en 1895, dont
- Patrick
Masquelier, né
en septembre 1942.
Marié avec Monique
de La Taille-Trétinville.
Retour