Wallerand Vaillant
Portrait d’Ignace Charles Virnot, lieutenant
à la Gouvernance du Souverain Baillage de Douai et Orchies, fils d’Urbain,
Conseiller du Roy, Contrôleur des guerres à Hondshoote, Directeur des frégates
à Dunkerke.
Il était Consul et Changeur Salineur et Syndic de la Chambre de Commerce de Lille.
Autre version
Portrait de Julie Virnot
par Heinsius
Portrait de Catherine Virnot
attribué par Heinsius à Henri Barrois
Portrait d’Urbain Dominique Virnot attribué à Heinsius à Henri Barrois
Johann-Ernst HeinsiusPortrait de Charles Joseph Lenglart, Seigneur de Lannoy et de Plancques (1740-1816),
Chevalier du Lys, trésorier de la ville de Lille, échevin, banquier, futur conseiller municipal de Lille, Président du canton de 1813 à 1816, député de Lille au Sacre de Napoléon, Conservateur du musée de Lille, et célèbre collectionneur de tableaux ; et de son épouse Marie Anne van Nuffel, fille d’Arnolphe Goduwal, seigneur de Marselaer, Berend, Wyckluyze, écuyer, Grand Juge de la chambre des Tonlieux à Bruxelles, anobli par l’Impératrice Marie-Thérèse en 1756.
Deux pastels ovales
représentant les mêmes, dans la salle à manger de l'hôtel Virnot, place Saint Martin à Lille
Suite de 6 portraits ronds,
au pastel, dans des cadres en bois doré, époque Louis XVI :
D’Alexandrine Virnot
épouse de François Barrois
De Rosalie de Raismes
épouse de Pierre Urbain Virnot
De Catherine Virnot épouse
de Charles Marie Le Thierry d’Ennequin
De caztherine Sophie
Virnot de Lamissart épouse de Dominique François Virnot
De Julie Marie Virnot
épouse de Joseph Marie de Fosseux
Charles Louis Watteau de Lille
Ami des Lenglart et des Virnot ; grand
tableau de famille où figurent les les enfants de Charles Lenglart ; il
brossait les décors de représentations théatrales ou d’opéra dans l’hôtel Virnot,
place Saint Martin.
Jacops, peintre de la Guilde d’Anvers :
Portrait monumental de la famille Carpentier,
signé et daté 1602 : il ne quitta jamais la famille et passa chez leurs
descendants Lenglart, Virnot puis aujourd’hui Prouvost.
Doncre
Portrait de François Joseph Pagart, seigneur
d’Hermansart, Président Lieutenant Général, Commissaire enquêteur et examinateur
à la Sénéchaussée du Boulonnais, époux de Marie Barbe Mollien de Belleterre,
fils de François et de Marie Louise Lenglart de Vaudringhem (1744-1793).
Rigaud 1659- 1743 ou Largillière 1656-1746
Portrait du Chevalier Jean Alexandre Marie de Bonneval,
Doyen des
marguilliers de l’église Saint Maurice de Lille, né en 1699 à Lille, mort en
1760, fils de Messire Victor-Amédée de Bonneval, chevalier, Seigneur de Saint
Prix, La Motte, Montfant Vicinol, capitaine au Régiment d’Asfeld Dragon et de
dame Marie de la Roche-Aymont.
Attribué à Hyacinthe Rigaud 1659-1743
Portrait de Marie Jeanne de Bonneval, née
Noiret de Saint Antoine,
exécuté vers 1733, le buste de trois quart, le visage
de face avec dans les chevelures frisonnante, un bijou décoré d’une grosse
perle pendante. La robe est de brocard d’or, garnie de dentelles et à la pointe
du décolletage rehaussée d’une broche en forme de croix, le bras droit se
dissimule sous un manteau, dont un pan retombe sur l’épaule gauche : fond
olivâtre.» Charles Le Thierry d’Ennequin.
Attribué à Jean Baptiste van Loo :
Portrait de Charles Marie Victor de
Bonneval, exécuté vers 1736,
« fils du précédent : dans un parc à la Française, il est représenté en Cupidon ailé, enveloppé d’une draperie de soie gorge de pigeon, brandissant une flèche, le visage de face, la chevelure en boucles blond doré »
Le peintre van Oost,
témoin au mariage de Marie
Rose de Ghewiet.
Les Van Blarenberghe,
familiers de l’hôtel Virnot, place Saint Martin à Lille
Victor Mottez 1809, CLH, élève de Picot et d’Ingres
Portrait magistral » (CLTE) de
son oncle Charles Marie Le Thierry (d’Ennequin
et de Riencourt) 1756-1858
« conseiller Municipal, écuyer, député de Lille au baptème du duc de Bordeaux, croix de la Légion d’Honneur remise par Monsieur de Villèle, Membre de la Chambre de Commerce de Lille, président du Conseil de fabrique de l’église Saint Maurice puis Saint André, époux de Catherine Charlotte Virnot.
Fresque magnifique dans la salle de concert
de l’hôtel que fit construire Urbain Lethierry d’Ennequin, rue Vantroyen à
Lille : elle représentait le vaisseau d’Ulysse au milieu des sirènes et l’assemblée
des muses.
Portrait d’Urbain Charles Lethierry 1790-1868, membre du conseil d’a rrondissement , de la chambre et du tribunal de commerce de Lille, économiste distingué, publia divers ouvrages pour soutenir la doctrine du libre-échange. Il épousa Céline Bonnier du Metz puis, veuf, en secondes noces, Elisabeth Arshdall, fille du membre du parlement britannique et nièce de l’archevèque de Cantorbury, primat d’Angleterre et protestante. Chez M LTE, Martin
Dominique Ingres 1780-1867
Portrait de crayon de Marie Walérie de
Formigier de Beaupuy, mère de Victor Mottez.
Samain, prix de Rome :
Buste
de Charles le Thierry d’Ennequin
1860-1929, licenciée en droit et sculpteur ; légua
plusieurs œuvres décoratives
au musée de Lille inspirées de ses séjours
répétés aux Indes, en Grèce, en Palestine
et en Egypte. Il fut aussi fervent wagnérien… et
contribua de ses deniers à
faire connaître, en octobre 1899, à Paris,
l’opéra Tristan et Iseult, fréquenta
les musées d’Europe, EU, Japon.
Portrait d’Alexandrine
Virnot
Miniature d’Alexandrine Virnot par Cattaert
Portrait de Simon de Flandres
au XVII° siècle à Lucien LT d’Ennequin (Bocquet)
Portrait de Catherine Cardon
en 1614 à Louis de Beaumont
Portrait de Jehan Cuvillon
en 1614 à Louis de Beaumont
Portrait de d’Antoine de Sailly
Portrait de Charles Noiret
de Saint Antoine dans les boiseries d’une demeure à Saint Maurice (rue Blanche)
Portrait miniature de
Madame Urbain Lethierry d’Ennequin, née Elisabeth Arshdall
Portrait en pieds d’Elisabeth
Arshdall
Portrait du père d’Elisabeth
Arshdall et de son oncle, archevèque de cantorbery
Armoiries de Jacques LT d’E et Marie de Bonneval (dans sa
chambre à coucher), transmises par Urbain Virnot à Lucien LTE
Cachets aux armes LTE ( à
M de Madre et à Lucien LTE)
Peintures du grand salon
de la propriété de Wazemmes par Lucien LTE à Jules Barrois-van der Straeten
Initiales CLTE sur deux
écussons ovales d ’une verrière de l’église Saint André à Lille (LTE et Virnot)
Chapelle en vermeil aux
armes de Charles Dillon (Cathédrale de Narbonne)
Biens de la branche de
Flandre tombée en quenouille à M LTE
Portrait de Jean Bart à M
de Carbonnière de Marzac
Tinnière de C Guys de l’hôtel
Lethierry d’Ennequin à Mr de Beaumont-Barrois
Epingle de cravate de
brillants donnés par Madame Adélaïde à Désiré LTE
Portrait d’Adolphe LTE,
fils de Charles LTE et Catherine Virnot
4 miniatures : Ch
LTE, Catherine et Félicie Virnot, Henri Barrois
Portrait de Valérie de Beaupuy par Victor Mottez et Ingres chez Madame Asselin de Williencourt, nièce de M de Torcy
Julie
Mottez
Julie Mottez
Julie Mottez
par Th. Chassériau, 1841 par Victor Mottez ? 1836
?
par JD. Ingres, 1844
38,4 x
musée du Louvre
Fogg Art Museum,
Harvard University
musée de
l'Hermitage
cabinet des dessins
Cambridge Massachusetts.
St
Petersbourg, Russie.
Wikipedia: " Gaspard de Crayer est né à Anvers. Il est le fils de Gaspard
de Crayer l'Ancien, un peintre décorateur, enlumineur et marchand d'art4. Élève
présumé de Raphaël Coxie, fils ainé de Michiel Coxcie et peintre de cour des
archiducs Albert et Isabelle, souverains des Pays-Bas espagnols, Gaspard de Crayer
devient franc-maître à la guilde de Saint-Luc de Bruxelles le 3 novembre 1607.
Il est le doyen de la guilde de Saint-Luc en 1614-1616. Le 17 février 1613, il
épouse Catharina Janssens3. De 1612 jusqu'à 1627, il est membre du conseil de
la ville de Bruxelles4.
Les premières œuvres de Gaspard de Crayer incluent des
portraits des rois d'Espagne et des gouverneurs et fonctionnaires espagnols
stationnés dans les Pays-Bas espagnols et des membres du conseil de la ville de
Bruxelles. Par exemple, le Portrait du marquis de Leganés est peint par de
Crayer en 1627-1628 (Musée d'histoire de l'art de Vienne). En plus, depuis le
début de sa carrière, Crayer reçoit des commissions pour retables de plusieurs
églises et monastères situées à Bruxelles et dans ses environs. Il collabore en
1635 aux travaux décoratifs réalisés pour la Joyeuse Entrée à Gand du
cardinal-infant Ferdinand, frère du roi Philippe IV d'Espagne et gouverneur des
Pays-Bas espagnols depuis la mort de sa tante Isabelle-Claire-Eugénie
d'Autriche. Le cardinal-infant Ferdinand fait de lui son premier peintre de la
cour3. Jacques Boonen, archevêque de Malines, lui confie dans les années
1620-1630 des travaux de décoration à l'abbaye d'Affligem.
Même après avoir acquis une position sociale élevée à
Bruxelles, de Crayer ne perd pas le contact avec sa ville natale d'Anvers. Il
reste en particulier un ami et associé d'affaires du marchand d'art Matthijs
Musson (en) (c. 1600-1678), qui est aussi son patron et agent3.
Il s'installe à Gand en 1664, où il est inscrit à la guilde
de Saint-Luc. Beaucoup de ses peintures ornent les églises de Gand3.
Son grand atelier lui permet d'effectuer de nombreuses
commandes de retables pour des sociétés religieuses et des clients dans les
Pays-Bas espagnols, l'Espagne et d'autres pays. Parmi ses commissions figure
une commission de l'architecte et artiste-peintre néerlandais Jacob van Campen
pour contribuer à des tableaux pour la décoration de l'Huis ten Bosch à La
Haye5.
Dans son vaste atelier, de Crayer forme entre 1610 et 1661
un grand nombre d'étudiants, y compris Jan van Cleve (III) (en), Anselm van
Hulle (en) et François Monnaville2.
Œuvres
Gaspar de Crayer était un peintre de tableaux d'histoire,
surtout avec des thèmes religieux, et de portraits.
Il emprunte des motifs à l'œuvre de Rubens et on soupçonne
qu'il est en contact avec l'atelier de Rubens. Jusqu'à 1630, de Crayer
travaille dans un style classique. Depuis environ 1631, il tombe sous l'influence
d'Antoine van Dyck et ses compositions de sujets religieux deviennent plus
chargées d'émotion.
Entre 1638 et 1648, les compositions de de Crayer affichent
une tonalité plus légère et ses personnages deviennent plus doux et
sentimentaux en apparence. Plus tard, il est également trace d'une influence
vénitienne, en particulier de l'art de Titien et Paul Véronèse. Dans les années
1650 et 1660, l'art de de Crayer devient plus émotionnellement chargé et plus
dramatique. Dans la dernière période, beaucoup de ses compositions sont
réalisées par des collaborateurs dans son studio5.
Interprétation en gravure
Hercule entre la volupté et la vertu, gravé par Philippe Trière d'après Gaspard de Crayer (British Museum, Londres).
Collections publiques
La Déploration du
Christ, vers 1630
Étude de la tête
d'un jeune Maure, 1631, huile sur toile, 39 × 33 cm, Musée des beaux-arts de
Gand6
La Pêche
miraculeuse, vers 1644, Musées royaux des beaux-arts de Belgique, à Bruxelles
Le Couronnement de
sainte Rosalie, 1644, huile sur toile: 321 × 363 cm, Musée des beaux-arts de
Gand. Provient de l'ancienne église des Jésuites d'Ypres7.
La Résurrection de
Lazare, 1664, Église Saint-Germain de Rennes
La Résurrection de
Lazare, 1664, Musée des Beaux-Arts de Rennes (seconde version, même année, mais
très différente)
La Sainte Vierge
et l'Enfant Jésus vénérés par différents saints, Musée de Grenoble
L'Assomption de la
vierge, huile sur toile, 380 x 276 cm, Musée des beaux-arts de Dijon
La pêche
miraculeuse : Les apôtres rapportent au Christ le fruit de leur prise, Palais
des beaux-arts de Lille.
Le Martyre des
quatre couronnés : Claudius, Nicolastratus, Symphorianus, Castor et Simplicius,
Palais des beaux-arts de Lille
Le Martyre de
saint Denis, saint Rustique et saint Eleuthère, Maison d'éducation de la Légion
d'honneur, Saint-Denis, (Seine-Saint-Denis), (réfectoire)8
La Résurrection de
Jésus Christ, Musée des beaux-arts, Valenciennes
La Sainte Vierge
offrant le Rosaire à saint Dominique en présence de différents autres saints,
Musée des beaux-arts, Valenciennes
Job sur le fumier,
Musée des Augustins, Toulouse
Le Christ en croix
en présence de saint François et de sainte Marie-Madeleine, Musée Antoine
Lécuyer, Saint-Quentin (Aisne)
Sainte Catherine
enlevée au ciel
La Vierge
intercédant pour les infirmes
Le Centenier aux
pieds de J.-C.
La Descente de
Croix, Rijksmuseum Amsterdam
La Descente de
Croix, Millau
L'Assomption,
église Sainte-Aldegonde, Écaussinnes-Lalaing
Quatre portraits
attribués à l'artiste se trouvent dans l'église Sainte-Agathe, à Bruxelles.
Philippe IV
d'Espagne, Metropolitan Museum of Art, New York.
Crucifixion avec
Marie-Madeleine, église Saint-Sébastien de Préaux-Saint-Sébastien. "