Un mécène et collectionneur du siècle des lumières
Charles LENGLART,
Seigneur de Lannoy et de Plancques
Chevalier
du Lys par le roi Louis XVIII le 26 juillet 1814, Trésorier de
la ville de Lille, Echevin, négociant,
futur conseiller municipal, président du canton de 1813 à 1816,
député de la ville de Lille au sacre de Napoléon,
conservateur du musée de Lille.
(1740-1816)
Charles
était le frère de Marie Alexandrine Lenglart,
épouse de Charles Louis Virnot de Lamissart, de Catherine
Charlotte Lenglart épouse d’Urbain Dominique Virnot, de
Marie reine Blanche Lenglart 1744-1817 épouse de Jean
Chrysostome de Brigode, seigneur de Canteleu, membre de la chambre de
commerce de Lille
Charles
LENGLART s’est illustré par sa fameuse collection de
tableaux et par son mécénat auprès de la dynastie
de peintres : les Watteau de Lille dont il posséda un grand nombre d'oeuvres.
Il
était le fils de Nicolas Hubert Lenglart, seigneur de la Motte,
de Ponchel-Englier et de Lannoy, échevin de Lille et
d’Alexandrine Carpentier, fille de Charles et Anne Catherine de
Kerpen.
Il épousa Marie Anne van Nuffel, 1744-1826, fille
d’,grand juge de la chambre des Tonlieux de Bruxelles, anobli par
l’impératrice Marie- Thérèse en 1756 et de
Marguerite Allard (petite fille de Michel Allard, peintre de leurs
altesses sérénissime les archiducs Albert et Isabelle.
Jean Baptiste van Nuffel, Marie Begge d'Ancré, seigneur de Droosbeck et Laeken, 1675 1736
Arnolphe Goduwal Berthulphe, Marie Marguerite Allard, écuyer, seigneur de Marselaer, Berent, Wyckluyse, 1721-1789
Illustrations issues du lvre de Jean Pierre Lenglart: les descendants de Guillaume Lenglart
Voici un extrait de l’important ouvrage de Gaëtane Maës :
Les Watteau de Lille :
Louis Joseph Watteau, dit Watteau de Lille
« comme plus tard son fils François Watteau, né le 10 avril 1731 à Valenciennes et décédé le 27 août 1798 à Lille, est un peintre français.
C'est le petit-neveu de Jean-Antoine Watteau, le peintre des fêtes galantes, et le fils de Noël Joseph Watteau (1689-1756), frère de Jean-Antoine Watteau.
Peintres actifs à Lille, lui et son fils François seront
appelés les « Watteau de Lille ». Son
rôle a été déterminant dans la
création du futur musée lillois des Beaux-Arts qui sera inauguré en 1803, par la réalisation du premier inventaire des tableaux confisqués à la Révolution.
Natif
de Valenciennes, Louis-Joseph Watteau y est d'abord apprenti en
1738-1739, avant de se rendre à Paris où il est
l'élève de Jacques Dumont (le Romain), puis de l'Académie royale de peinture et de sculpture.
En 1755, il est nommé professeur à l'École de
dessin de Lille, qui vient d'être créée, mais n'y
reste que peu de temps. L'année suivante, il achète une
charge de peintre dans sa ville natale. Il participe alors activement
à la vie de la Guilde de Saint-Luc de 1758 à 1764. En 1757, il épouse Marie Agnès Dandois à Maubeuge qui lui donnera douze enfants, parmi lesquels François. En 1770, il est adjoint du peintre Louis-Jean Guéret à
l'Académie des arts de Lille. Il prend sa suite à la
direction du cours de dessin en 1778. Membre de l'Académie de
Lille depuis 1775, il devient alors l'un des principaux artisans de la
fondation de l'Académie de Valenciennes en 1783. Fixé
définitivement à Lille, il s'engage dans la sauvegarde
des tableaux confisqués au début de la Révolution,
ce qui l'amène à être l'initiateur du musée
de la ville en 1795. Il meurt le 27 août (10 fructidor an VI)
dans son logement de l'École centrale de Lille.
La 14éme expérience aérostatique de Monsieur Blanchard accompagné du Chevalier Lépinard.
La réception d'un soldat arrivant dans sa patrie, avec en fond Lille vue du Dieu-de-Marcq (1774), huile sur toile, Palais des beaux-arts, Lille.
La Fête au Colisée (ca 1787), huile sur toile, 75 × 91 cm, Palais des beaux-arts, Lille
La Jolie Colombe, huile sur toile, Musée des Beaux-Arts de Valenciennes
La 14ème expérience aérostatique de M. Blanchard, huile sur toile, Musée de l'Hospice Comtesse, Lille
Le Bombardement de Lille, huile sur toile, Musée de l'Hospice Comtesse, Lille
Le Retour des Aéronautes Blanchard et Lépinard, huile sur toile, Musée de l'Hospice Comtesse, Lille
Collégiale Saint-Nicolas d'Avesnes-sur-Helpe, trois tableaux dans la chapelle de la Vierge
Église Saint-Maurice de Lille, quatre scènes de la Passion
André Mabille de Poncheville, Louis et François Watteau dits Watteau de Lille, Paris, André Delpeuch, 1928
Claude-Gérard Marcus, Les Watteau de Lille (Louis-Joseph et François Watteau), Paris, 1976
Gaëtane Mäes, Les Watteau de Lille. Louis Watteau (1731-1798). François Watteau (1758-1823), Paris, Arthena, 1998 » Wikipedia
François Louis Joseph Watteau,
« dit Watteau de Lille comme son père Louis Joseph Watteau, né le 18 août 1758 à Lille et décédé dans la même ville le 1er décembre 1823, est un peintre français. |
François Watteau est le fils de Louis Joseph Watteau et le petit-fils de Noël Joseph Watteau (1689-1756), frère de Jean-Antoine Watteau. C'est donc l'arrière-petit-neveu de Jean-Antoine Watteau, le peintre des fêtes galantes.
Formé par son père à Lille, puis à Paris auprès de Louis Jean-Jacques Durameau et à l'académie des beaux arts de Paris de 1775 à 1782, il fournit des dessins à la Galerie des Modes avant de revenir à Lille. En 1802, il présente deux Batailles d'Alexandre au salon de Paris qui
ne rencontrent pas la faveur de la critique. À partir de 1806,
il ne peint plus, mais continue à dessiner pour produire une
œuvre graphique considérable.
Professeur
à l'école de dessin de Lille (créée en
1753), puis professeur à partir de 1796 à l'École centrale du Nord à Lille1 dans l'ancien couvent des Récollets, rue des Arts, il a aussi été conservateur adjoint du musée des beaux-arts de Lille de 1808 à 1823N 1.
1799, Le siège de Beauvais en 1472, huile sur toile, Musée des Beaux-Arts de Valenciennes
vers 1803, La Fête du Broquelet, huile sur toile, Musée de l'Hospice Comtesse, Lille » Wikipedia
«
en 1766, Louis WATTEAU (1731-1798) s'installe à Lille ou on 1'a
peut-être fait venir. Lors de la naissance de son sixième
enfant, le 8 septembre 1766, on relève effectivement pour la
première fois le nom de Charles Lenglart au titre du parrain.
Cette rencontre est fondamentale pour Louis car Lenglart devient
rapidement son principal client et l’appui social qu'il a
vainement recherche a Valenciennes. Pour cette raison, il est
nécessaire de s'arrêter un instant sur la
personnalité de ce denier.
Ne
en 1740, Charles Lenglart est a la fois le petit-fils d'un avocat au
Parlement de Flandre, Grand Juge de la Chambre consulaire de Lille et
1'unique fils d'un des plus importants négociants de dentelles
de Lille. A la mort de son père en 1766, il reprend
I'activité paternelle a laquelle il ajoute celle de banquier. II
semble avoir possédé des revenus confortables mais ne se
range pas parmi les premières fortunes de la ville76. Apres une
vie qui parait avoir été paisible dans l'ensemble en
dépit de 1a période révolutionnaire, il meurt en
1816.
Quand
il rencontre Louis Watteau, il n’est encore ni bourgeois de Lille
(1768), ni échevin (1769) mais déjà grand amateur
d'art. II a commence, depuis 1760 environ, une collection qui
devient rapidement la plus importante du nord de la France. On sait que
le peintre Jacques-Louis David a fait le détour en 1781 pour la
visiter en compagnie de Piat-Joseph Sauvage. Les tableaux, qui la
composaient, étaient pour la plupart des écoles flamande
et hollandaise79 et essentiellement des scènes de genre. II
serait trop long d'établir la liste complète des artistes
représentés et nous nous contenterons de citer
pêle-mêle : Nicolas Berchem, Jean de Bray, Albert Cuyp,
Gabriel Metsu, Godfried Schalcken, Jan Steen, Gérard Tel' Borch,
Adriaen van de Velde, Jan Weenix ... pour l'Ecole hollandaise ;
Ambroise et Pierre Brueghel, Gonzales Coques, David Teniers II, Rogier
van der Weyden, Jan Wildens ... pour I'Ecole flamande. La peinture
française est représentée par des
personnalités très diverses : Louis Boilly, Sebastien
Bourdon, Jean-Louis Demarne, Gabriel-François Doyen, Jacques
Lajoue, Hyacinthe Rigaud. A l'intérieur des listes, on remarque
que les grands maîtres n'apparaissent qu'a travers leur Ecole;
c'est le cas de Rembrandt, de Rubens, de Boucher et de Fragonard.
Enfin, les Italiens font figure de parents pauvres car seuls quelques
grands noms sont mentionnes, sans qu'il soit aujourd'hui possible de
déterminer si les attributions étaient
méritées. On rencontre ainsi notamment les noms de
Bellini et du Parmesan. La collection comportait également des
œuvres d'artistes régionaux que Charles Lenglart
encouragea toute sa vie. Parmi ces derniers, on remarque les noms de
Louis-Nicolas Van Blarenberghe, François Eisen.
Depelchin
et Jean-Baptiste Dusillion qui ne sont cependant représents que
par une ou deux œuvres chacun. Le cas des Watteau de Lille est
tout a fait différent puisqu' a la fin du XIXe siècle, un
état estimatifs de la collection après un premier partage
ne mentionne pas moins de vingt tableaux et environ cent-cinquante
dessins de Louis Watteau ainsi que quatre peintures et une cinquantaine
de croquis de François. L'autre moitié de cet ensemble
unique comprenait a peu près les mêmes quantités
d'œuvres des Watteau de Lille. L'essentiel de la collection a
cependant été disperse lors de trois ventes qui eurent
lieu en 1879, 1902 et 1909. En dehors des inventaires prives qui res
tent difficiles d'accès, le catalogue de 1'exposition Watteau
organisée a Lille en 1889 par Paul Marmottan donne un bon
aperçu de ce que contenait la collection Lenglart encore a cette
date.
Apparente aux familles bourgeoises de Lille83, Charles Lenglart épouse en 1767, Marie Anne van Nuffel, issue de la noblesse bruxelloise. Sur le plan artistique, il entretient des relations avec
Jacques-Louis David, Piat-Joseph Sauvage, Noel Lemire,
Jan Garemijn,
Louis- Nicolas van Blarenberghe
;
iI
est lui-même peintre amateur et se montre attentif a la vie de
l’école de dessin au sein de laquelle il remplit le
rôle de commissaire a partir de 1782.
Lors
de ses voyages à Paris ( on voit son adresse 41, rue
Quincampoix), on comprend qu'il rencontre l’élite des
artistes : Girodet, Gros, Gérard, Guérin, Lemot,
Quatremère de Quincy…
En
résumée, pour dépeindre Charles
Lenglart, il suffit de dire qu'il est véritablement un
homme du siècle des Lumières.
Sa
curiosité d' amateur éclairé l' a probablement
amené a faire la connaissance de Louis Watteau, ses
qualités humaines l'ont conduit a lui venir en aide. C'est
ce que confirme Pierre Grohain dans une lettre a Louis Lenglart
expliquant que les hommes de talent ont toujours ete les bienvenus a
Lille et dans laquelle il termine en disant :
«
C' est ainsi que les Watteau de Valenciennes ont été
accueillis a Lille par Monsieur votre très honore père
» (20 mai 1842).
Au
rôle déterminant joue par Charles Lenglart dans
l'installation de Louis Watteau a Lille, il faut ajouter les conditions
favorables liées au contexte local. C'est pourquoi, il est
indispensable de dépeindre celui-ci rapidement.
Lille
se trouvait depuis toujours au cœur d'une région
contrastée qui avait subi l'ascendant de la culture
bourguignonne puis f1amande et enfin française. Au lendemain de
la conquête par Louis XIV, la ville s'était agrandie et
embellie et au cours de la première moitie du XVIIIe
siècle, on avait vu I’ esthétique française
s'installer peu a peu dans I’ architecture et la peinture.
L'absence de personnalité artistique marquante devait toutefois
caractériser cette période de I’ histoire de Lille.
En peinture, après la mort d' Arnould de Vuez en 1720, on
pouvait tout au plus citer le nom de Bernard-Joseph Wamps (Lille,
1689-id., 1744) 85 dont l'œuvre essentiellement religieuse parait
aujourd'hui plutôt fade. «
Un des exemples des commandes et du mécénat de Charles Lenglart:
La rosière de Salenci, trois tableaux pour la salle à manger
A MANGER DE CHARLES LENGLART
Charles
Lenglart avait sa résidence principale 11 Lille, place du
Vieux-Marche-aux-Chevaux et c'est pour la salle à manger
de cette maison qu'il commande en 1779-1780, un ensemble
décoratif comprenant trois tableaux. Un reçu conserve par
la famille Lenglart permet de savoir que les toiles ont
été achevées à l' automne 1780 car le solde
est paye 11 Louis Watteau le 30 septembre mais nous ignorons cependant
le montant total de la commande.
La
maison d'origine ayant été détruite, nous ne
savons pas dans quel cadre les sujets venaient s'insérer mais le
format des toiles témoigne d'une pièce aux dimensions
imposantes puisque la scène principale mesure environ trois
mètres sur trois. Charles Lenglart avait retenu trois
scènes tirées de la Rosière de Salenci, ce qui
symbolise bien l'attrait de la bourgeoisie de 1'époque pour
I’ imagerie paysanne revisitée par la littérature.
Notre
première pensée a été que les sujets
étaient issus de la comédie mêlée d'ariettes
écrites par Favart (1769) ou de la pastorale de Masson de Pezay
(1774) car 1'une ou 1'autre aurait pu, avec vraisemblance, être
représentée à Lille avant 1780. Dans son ouvrage
consacre au théâtre lillois (1907, p. 323), Léon
Lefebvre indique que La rosière de Salenci a été
jouée à Lille en 1783 mais il ne mentionne
malheureusement pas les répertoires antérieurs 11 1780.
Au demeurant, dans les deux versions théâtrales,
l'intrigue est essentiellement constituée de ce qui
précède le couronnement de la rosière et l'on n'y
retrouve pas les scènes illustrées par Louis Watteau. Ce
dernier s'est en réalité servi de la nouvelle de
Billardon de Sauvigny, La Rose ou la Feste de Salency, parue dans le
recueil L'innocence du premier âge en France (Paris, 1768). Il
s'est plus particulièrement inspire de 1'introduction
intitulée « Eclaircissements sur la fête de la
Rose» et dans laquelle l'historique et le déroulement de
la cérémonie sont minutieusement décrits.
Avant
de voir quels moments ont été représentés,
précisons que par une chance rare, l'ensemble décoratif a
été préservé grâce a la vigilance des
descendants Lenglart. Il constitue un témoignage unique de la
production du peintre lillois au sommet de sa carrière et le
situe parfaitement dans son époque et sa région. Par
leurs sujets, les toiles sont, en effet, a l'image d'un gout
renouvelé pour les thèmes paysans tandis que par leur
traitement, elles reflètent un art mêlant tradition
f1amande et esprit français. Ainsi, Louis Watteau combine
harmonieusement coloris chauds et mesure de la composition.
Historique
de la suite: Ensemble de trois tableaux commandés à Louis
Watteau par Charles Lenglart pour sa salle a manger (10, place du
Vieux-Chevaux, Lille) vers 1779-1780 (le solde de 342 livres de France
est payé le 30 septembre 1780) ; collection Charles Lenglart
(+1816), Lille; collection Louis Lenglart (+ 1866), Lille;
collection Auguste Lenglart (+ 1907), Lille ; collection Prouvost ; collection Prouvost-Dehau ; dans la famille de l'actuel propriétaire depuis 1965.
Bibliographie
de la suite: Marmottan, 1889, pp. 20 a =-- p. 56 et p. 65 ; Fromentin,
[1913], p. 382; Mabille :Y Poncheville, 1926, p. 222 ; id., 1928-a, pp.
33 a 37 et ;-.99. nO 35 a 37 ; id., 1928-b, pp. 256-257 ; id., 1929-b,
~ . 111-112; id., 1958, pp. 57-58, repro p. 56; Marcus, _ -6. n, pp. 13-14, n° 53 a 55; Oursel, 1991, p. 170.
NB:
les reproductions en noir et blanc sont isssues des excellents ouvrages
de Jean Pierre Lenglart: "les descendants de Guillaume Lenglart" de
1490 à nos jours.et de Gaëtane Maës: "Les Watteau de
Lille"
La
collection Lenglart fut largement transmise jusqu'à nos jours
à leurs descendants, mais firent aussi l'objetde trois
importantes ventes aux enchères dont voici l'une d'elle:
Jules Lenglart
Collection
de feu M. Jules Lenglart de Lille, catalogue des tableaux anciens des
différentes écoles, Œuvres importantes par Jean
Weenix, Louis et François Watteau, de Lille, et autres…
et dont la vente aura lieu Hotel Drouot, le lundi 10 mars 1902
Dalligny, Aug. (préface) Me P. Chevalier, commissaire-priseur,
Lasquin M.B., expert, Paris, 1902.
In-4, broché, 60 pp.
Rare
catalogue de vente avec le montant des œuvres et parfois le nom
des acquéreurs inscrits à la plume en face des notices.
Avec 8 reproductions sous serpente en noir et blanc en hors-texte.
Assez bon exemplaire. Dos défraîchi avec des fentes, de
rares rousseurs. Œuvres importantes par Jan Weenix, Louis et
François Watteau, de Lille, et autres par Van Blarenberghe, F.
Bol, Brakenburg, Craesbeeck, L. Cranach, A. Cuyp, Van Delen et
Wouwerman, Erhenberg, Jean Fyt, Mlle Gérard, Jean de Mabuse,
Moucheron, Eglon Van der Neer, I. Ostade, Palma Vecchio, Van der Poel,
Poelenburg, Rubens, Schalken, Jean Steen, D. Teniers, A. Van de Velde,
A. de Vuez, J.-B. Weenix, Wyldens, etc., etc. - Conditions de la vente
- Préface par Aug. Dalligny - Tableaux - Miniatures (118
numéros décrits.)
« Issu
d'une grande famille d'amateurs et de collectionneurs lillois, Jules
Lenglart, au même titre que Louis (mort en 1866) et Auguste
Lenglart (mort en 1907), a perpétué la tradition
familiale en rédigeant notamment l'imposant Catalogue des
tableaux du musée de Lille en 1893. Jules Lenglart était
le petit-fils de Charles Lenglart (1740-1816), connu pour sa
proximité avec Louis et François Watteau, dits Watteau de
Lille. Comme l'écrit Paul Marmottan dans la monographie qu'il a
consacrée en 1889 aux deux artistes, "Charles Lenglart devina
les Watteau, il les prit en affection, les soutint de ses
encouragements et les admit même à son intimité. Le
grand-père de notre ami M. Jules Lenglart -dont vous connaissez
tout le dévouement à l'Union artistique qui le compte
parmi ses zélés fondateurs,- rassemblait
déjà sous Louis XVI une collection de tableaux
remarquable, dont les tronçons encore très
considérables ornent aujourd'hui encore les demeures
hospitalières et si artistiques de ses petits-enfants et
arrière-petits-enfants. On y trouve, en effet, en parfait
état de conservation, des peintures qui ne sont pas sorties de
la famille, depuis un siècle, et à côté
d'une riche variété de Watteau, joyau de cet ensemble,
des maîtres classés comme Drolling, Boilly, Lafitte,
Demarne, Mlle Gérard, etc. ... Bien peu de familles peuvent
avoir encore la bonne fortune d'exhiber des trésors pourvus d'un
acte d'état-civil aussi authentique! Honneur à ceux qui
se transmettent ainsi de génération en
génération le noble goût des arts et conservant du
même coup leurs productions distinguées, nous apprennent
à l'aimer davantage par la fidélité même du
culte dont ils donnent l'exemple." En 1902, dans le catalogue de la
vente après décès de Jules Lenglart, Auguste
Dalligny poursuit : "La collection de M. Jules Lenglart, de Lille, est
certainement, parmi les collections du nord de la France, une des plus
anciennes et des mieux connues. Commencée vers 1760 par M.
Charles Lenglart, elle a passé ensuite à ses
héritiers et se trouve aujourd'hui encore entre les mains de ses
petits-fils. L'un d'eux, M. Jules Lenglart, qui est mort au courant de
l'année dernière, a été membre et
secrétaire de la commisssion du Musée de Lille, dont il a
rédigé le dernier catalogue. Son ancienneté et les
connaissances spéciales de ceux qui l'ont formée, ainsi
que le milieu dans lequel elle restée depuis son origine sont
les meilleurs témoignages que l'on puisse invoquer en faveur de
cette collection." La vente Jules Lenglart fut la deuxième des
trois ventes aux enchères de la famille Lenglart (1879, 1902 et
1909). » http://archivesdunord.com
Carrez ; Laniel-Carrez ; Laniel ; Lenglart ; Lenglart Jules (vente Lenglart, Paris, hôtel Drouot, 1902/03/10, cat. n° 103) ; Delemer Paul ; Delemer André (vente Delemer, Paris, palais Galliera, 1971/03/27, cat. n° 37)
Collection Lenglart-Barrois Auguste
BIENVENUE CHEZ M. AIMÉ DESMOTTES,
COLLECTIONNEUR DE LA PLACE DES VOSGES
DE L’OBJET MÉDIÉVAL A L’INSTRUMENT DE MUSIQUE
Extraits de Frédéric Tixier, Université de Lorraine, Nancy, CRULH, EA 3945 Nancy, France
«
L’écrin devait être en harmonie avec les perles
» Paul Eudel, à propos de la collection
Desmottes. »
"
Aimé Eugène Constantin Desmottes-Lenglart (son
épouse est la petite fille du grand collectionneur Charles
Lenglart) appartient bel et bien à cette deuxième
génération de collectionneurs – après
Debruge-Dumesnil, Du Sommerard, Sauvageot ou encore Soltykoff –
qui redécouvre, à partir des années 1840-1850,
l’art du Moyen Âge et de la Renaissance. "
Le collectionneur:
«
Grand, mince, distingué, un peu anglais de tenue, mais
gentilhomme français d’allure (...) », cet homme a
su, grâce à de confortables moyens, se constituer un
remarquable cabinet d’amateur éclairé, dans lequel
se côtoyèrent plusieurs grands chefs-d’œuvre
de l’histoire de l’art mais également quelques
pastiches. Et malgré la dispersion complète des
œuvres, il est encore possible d’évoquer
aujourd’hui l’une des toutes dernières grandes
collections d’objets d’art de haute époque –
avec celle de Victor Martin Le Roy – de la seconde moitié
du XIXe siècle. "
Le portrait des grands parents Lenglart peints pat Johann Julius Heinsius trônait au milieu des collections. le grand père, Charles Lenglart était un des plus grands collectionneurs et mécènes du siècle des lumières.
Ses soeurs étaient Madame Urbain-Dominique Virnot et Madame Charles-Louis Virnot de Lamissart
Charles Joseph Marie Lenglart,
seigneur de Lannoy et de Planques,
Chevalier du Lys par le Roi Louis XVIII le 25 Juillet 1814,
Bourgeois de Lille,
Echevin de Lille,
Négociant,
Banquier,
Conseiller Municipal,
Trésorier de la ville de Lille,
Président du Canton de 1813 à 1816,
Député de la ville de Lille au sacre de Napoléon,
Conservateur du Musée de Lille,
baptisé le 22 Mars 1740 Saint-André Lille,
décédé à Lille le 19 Novembre 1816
x
à Bruxelles le 17 Février 1767 Marie-Anne
van Nuffel, baptisée le 5 Mars 1744 à Saint-Gery
Bruxelles, décédée le 22 décembre 1825,
fille d’un Grand Juge de la Chambre des Tonlieux
(aujourd’hui van Nuffel d’Heynsbroeck) Voir
l’article « Un mécène et collectionneur
du Siècle des Lumières »
Entre
les 19 et 23 mars 1900, en salle n° 6 de l’hôtel des
ventes de Drouot à Paris, le monde des collectionneurs et autres
amoureux de « bibeloteries » anciennes fut en effervescence
avec la mise en vente de l’imposante collection du riche rentier,
d’origine lilloise, Aimé Eugène Constantin
Desmottes (1825-1899). « Visiteurs, amateurs et antiquaires venus
de loin, notamment d’Allemagne (...)» s’y retrouvent
alors, comme l’évoquent, dans leurs gazettes, certains des
journalistes présents au cours de
l’événement. Il est vrai qu’avec quatre cent
soixante-douze numéros au catalogue2 – comprenant divers
objets d’orfèvrerie, des tapisseries, des sculptures ou
encore des armes et autres faïenceries – la vente Desmottes
ne rapporte pas moins de 344 000 francs et constitue de fait
l’une des plus importantes vacations d’objets d’art
du Moyen Âge et de la Renaissance en ces prémices du XXe
siècle.
Né
à Lille le 11 avril 1825, au sein d’une famille de la
bourgeoisie marchande spécialisée dans le textile et le
sucre, fils de Charles Aimé Joseph Desmottes et d’Hortense
Charlotte Paquet, Aimé Desmottes se passionne dès sa plus
tendre enfance, selon son biographe Paul Eude, pour
l’époque médiévale. Son goût
romantique le conduit ainsi à transformer sa chambre en
véritable « salle gothique », parant ses
fenêtres de vitraux de papier et ses murs, d’arabesques et
de brocarts. Aux intérêts des affaires familiales,
Desmottes préfère fréquenter les églises et
autres musées de sa ville natale, nourrissant sa passion pour
l’art et son goût du dessin. Le 4 septembre 1850, il
épouse Charlotte Nathalie Lenglart, fille et petite-fille de
riches négociants et banquiers lillois : La fortune
considérable des époux Desmottes permet à
Aimé d’accroître très rapidement sa
collection, d’abord à Lille, puis à Paris,
lorsqu’il décide, dans les années 1880, de
s’installer au 12, de la place des Vosges, (Place Royale), au
premier étage du Pavillon de la Reine. Le confortable et vaste
appartement devient un véritable écrin pour ses objets,
ouvert aux nombreuses visites d’amateurs et / ou curieux de la
capitale.
Paul Eudel écrit même « qu’à peine
avons-nous franchi le seuil de l’antichambre de M. Desmottes que
nous commençons à nous persuader que nous devenons un
Flamand du XVe siècle ». En effet, le goût du
collectionneur se portera tout au long de sa vie sur des œuvres
d’art des derniers siècles du Moyen Âge et du
début de la Renaissance, en particulier la statuaire flamande
des XVe et XVIe siècles. Cette préférence
s’avère quelque peu atypique en cette seconde
moitié du XIXe siècle, qui voit traditionnellement
l’intérêt se porter sur le siècle de saint
Louis, considéré alors comme l’apogée de la
création artistique médiévale.
GENÈSE ET « SCÉNOGRAPHIE» D’UNE COLLECTION D’OBJETS D’ART ANCIENS.
Malgré
sa dispersion, le cabinet de notre amateur peut – dans une
certaine mesure – être reconstitué par le biais de
trois principales sources textuelles et iconographiques : tout
d’abord, avec le Catalogue avec annotations des objets
d’art français, italiens, allemands et flamands des XIIIe,
XIVe, XVe, XVIe et XVIIe siècles, rédigé par
Aimé Desmottes en personne et publié à Lille en
1878 ; puis avec le catalogue de la vacation de 1900 comprenant
plusieurs planches illustrées d’œuvres de la
collection et enfin, avec quelques tirages photographiques du fonds
Marquet de Vasselot, aujourd’hui conservé au musée
du Louvre. Si Aimé Desmottes acquiert ainsi une partie de sa
collection dans le nord de la France, il hérite également
d’œuvres importantes de son père. En effet,
Desmottes père possède, dans les années 1860,
quelques pièces médiévales intéressantes
dont des croix processionnelle, deux châsses reliquaires du
martyre de saint Thomas Becket en Opus Lemovicense et surtout un
imposant buste d’une sainte femme (ou de la Vierge ?),
attribué à l’époque au
sculpteur-orfèvre italien de la seconde moitié du XVe
siècle, Cristoforo Foppa dit Caradosso .Mais la grande
majorité de ses acquisitions provient directement de marchands
ou de ventes aux enchères à Amiens, à Lille ou
encore à Paris : ainsi, lors de la vacation Bouvier de 1873,
Aimé Desmottes achète plusieurs objets, dont deux
bustes-reliquaires et une monstrance émaillée de la
première moitié du XIVe siècle. Il se porte
également acquéreur d’un grand nombre de
pièces intéressantes lors des dispersions des collections
Dugué, Ducatel, Brunet, Couvreur, Germeau, Soltykoff, du baron
de Theis... et surtout lors de celle de Spitzer en 1893. Au cours de
cette dernière vacation, Desmottes remporte
l’enchère la plus élevée pour les deux
splendides figures d’évangélistes en cuivre
ciselé datées des années 1230, et appartenant
à l’origine au frontal du maître-autel de
l’abbaye de Grandmont (?). En parallèle des pièces
d’orfèvrerie (fig. 4), des panneaux décoratifs en
bois du XVIe siècle, des ivoires gothiques, une série de
tapisseries et de broderies ou encore un très bel ensemble de
faïences hispano-mauresques viennent enrichir son imposant cabinet
de collectionneur. Un buste en cire colorée d’Henri IV,
réalisé par le sculpteur Michel Bourdin dans les
années 1610 d’après un moulage mortuaire du roi
(?), fait d’ailleurs l’admiration de ses visiteurs et la
jalousie de certains de ses pairs. Achetée par Desmottes en 1883 lors
de la vente Beurdeley, l’œuvre est souvent commentée
dans les divers salons et autres journaux de l’époque.
Moins connue mais tout aussi étonnante est sa (modeste)
collection d’instruments de musique. Si la trompette allemande de
cavalerie, en cuivre, s’avère quelque peu traditionnelle,
en revanche, le violon en faïence bleue et blanche de Delft, du
début du XVIIIe siècle, est, quant à lui,
très atypique. En effet, cette œuvre – à la
sonorité « ni puissante, ni agréable » selon
les mots de Gustave Chouquet – apparait comme une pièce
exceptionnelle et rarissime, sortie des ateliers de manufactures
hollandaises. Grâce aux photographies prises de
l’intérieur (lillois ou parisien ?) de M. Desmottes, nous
avons aujourd’hui une petite idée de «
l’organisation » de la collection, telle qu’elle
avait été imaginée par son possesseur. Murs,
vitrines et étagères étaient entièrement
encombrés d’œuvres diverses et variées
– les armes côtoyant les sculptures et autres peintures
– dans un esprit encyclopédique et selon un
aménagement typique de l’amoureux d’objets
d’art de haute époque de la seconde moitié du XIXe
siècle. Accumulation, horreur du vide et « désordre
» apparent suivent finalement une certaine logique dans
l’esprit du collectionneur et ce, dans le but
d’évoquer un panorama général le plus
complet possible de la création artistique entre Moyen Âge
et Renaissance. La vitrine de son cabinet de travail est
d’ailleurs tout à fait exemplaire à cet
égard puisque sont rassemblées – sous la
classification « orfèvrerie religieuse » – de
nombreuses pièces de différentes époques, depuis
une colombe eucharistique en émail limousin du début du
XIIIe siècle jusqu’aux reliquaires des années 1500,
en passant par des figures d’applique, des pyxides et autres
crosses épiscopales... En cela, Aimé Desmottes fut le
grand ordonnateur de sa collection à la scénographie
réfléchie et quelque peu
théâtralisée, véritable reflet de ses
goûts personnels.
À
l’instar de certains de ses contemporains, le collectionneur fut
également un « pourvoyeur » important en
œuvres d’art lors d’expositions rétrospectives
d’art ancien et industriel, à l’échelle
locale, nationale et internationale. En septembre 1872 par exemple,
Desmottes envoie une quarantaine d’œuvres variées
à l’exposition artistique départementale
organisée par la ville de Valenciennes. Ce prêt important
lui octroie même la médaille d’or en remerciement de
sa généreuse participation. Deux ans plus tard, les
pièces de Desmottes font une grande impression sur les
organisateurs et les nombreux visiteurs de l’exposition
d’objets religieux de Lille, sans oublier celle de Bruxelles en
1882 et surtout, celle, rétrospective, de l’art
français du Trocadéro à Paris en 1889. Une fois
encore, le journaliste Paul Eudel se fait l’écho du
succès des objets de la collection Desmottes : « La
vitrine de M. Aimé Desmottes retient devant elle bien des
visiteurs. Elle ne contient cependant que des bois sculptés,
mais quels bois ! Ils sont de premier ordre, avec une belle patine qui
leur donne des tons chauds du bronze florentin. Evêques
mitrés, saints en prières, vierges en extase,
appuyées sur la hanche dans cette posture familière du
XVe siècle, groupe représentant le mariage de la Vierge
et de saint Joseph31 ».À la mort de Desmottes en 1899, sa
veuve met en vente la majeure partie de la collection. Mais, respectant
en cela les dernières volontés testamentaires de son
mari, elle réalise trois donations importantes. Un buste en bois
de saint Jérôme des années 1500, un encensoir
gothique ainsi que divers autres petits objets (aiguières,
ciboires, coffrets...) entrent au musée des Beaux-Arts de Lille.
Le musée des Thermes et hôtel de Cluny s’enrichit
quant à lui de plusieurs œuvres, dont une Vierge à
l’Enfant en cuivre doré du XVe siècle et un groupe
sculpté en bois du début du XVIe siècle,
représentant le couronnement de Marie par deux anges. Enfin, le
musée du Louvre hérite du « célèbre
» buste
en bois doré d’une sainte femme (?), attribué
à Caradosso. Malheureusement, celui-ci s’avère
être un pastiche dans le goût du XVe siècle ; une
contrefaçon de bonne qualité, achetée par
Desmottes père à Eugène Piot dans le cours des
années 1840-1850. Ainsi, le chef-d’œuvre de la
collection Desmottes fils – maintes fois loué pour sa
beauté dans la littérature de l’époque
– doit aujourd’hui être attribué à un
atelier de faussaires, peut-être italien...Comme de nombreux
collectionneurs de son temps, Desmottes fit également
l’acquisition de pièces contrefaites ou de pastiches plus
ou moins bien réalisés. Mais il fit aussi restaurer, et
ce par-fois grossièrement, certaines de ses œuvres lorsque
ces dernières n’étaient pas en assez bon
état à son goût. Ainsi, lors du compte-rendu de la
vente Desmottes dans le Bulletin de l’art ancien et moderne, un
journaliste écrit que « l’amateur (...) professait
volontiers, qu’il valait toujours mieux faire ajouter des parties
modernes à un objet que de le laisser avec des accidents
(...)». Il est donc probable que le collectionneur
s’attacha les services d’un maître-orfèvre et
/ ou d’un sculpteur – pratique courante au XIXe
siècle – lorsqu’il souhaitait rendre à
l’œuvre nouvellement achetée son aspect originel.
Dès lors, on peut imaginer que la petite Vierge à
l’Enfant, en cuivre doré, du musée de Cluny «
bénéficia » de plusieurs restaurations
programmées par le collectionneur ! Conservé à la
bibliothèque Jacques Doucet de l’Institut national
d’Histoire de l’art à Paris, un exemplaire du
catalogue de la vacation Desmottes de mars 1900 s’avère
extrêmement intéressant car de nombreuses annotations
marginales à la plume nous renseignent sur les différents
prix atteints par les enchères. On y retrouve également
divers jugements sur la qualité esthétique des
œuvres ainsi que, parfois, le nom de leurs nouveaux
propriétaires : les numéros 3 et 4 du catalogue par
exemple, qui concernent deux petites châsses limousines –
l’une représentant une Fuite en Égypte et
l’autre des saints personnages – portent la mention «
restaurée ». De même, les termes « arrangement
», « pièce composée de parties refaites ou
modernes», « réparation » ou encore «
douteux ? » sont fréquemment associés aux objets de
la collection Desmottes ! Malgré cela, la vente est un
véritable succès : les cuivres champlevés des XIIe
et XIIIe siècles, en particulier, atteignent de très
hautes enchères, doublant ou triplant leurs estimations. Les
grands marchands et collectionneurs de l’époque, tels
Lehman, Homberg, Gillot, Hoentschel et surtout Brimo de Laroussilhe se
portent acquéreurs d’une grande partie des œuvres.
Ce dernier, célèbre galeriste parisien, achète
notamment plusieurs pièces, qu’il revendra par la suite au
grand amateur et collectionneur d’art John Pierpont Morgan. En
1917, quelques objets de l’ancien cabinet Desmottes entrent alors
au Metropolitan Museum of Art de New York, tandis que d’autres
rejoignent, par donation, les collections du musée du Louvre ou
encore de celui d’Amiens.
Ainsi, Aimé Eugène Constantin Desmottes appartient bel et bien à cette deuxième génération de collectionneurs – après Debruge-Dumesnil, Du Sommerard, Sauvageot ou encore Soltykoff – qui redécouvre, à partir des années 1840-1850, l’art du Moyen Âge et de la Renaissance. « Grand, mince, distingué, un peu anglais de tenue, mais gentilhomme français d’allure (...) », cet homme a su, grâce à de confortables moyens, se constituer un remarquable cabinet d’amateur éclairé, dans lequel se côtoyèrent plusieurs grands chefs-d’œuvre de l’histoire de l’art mais également quelques pastiches. Et malgré la dispersion complète des œuvres, il est encore possible d’évoquer aujourd’hui l’une des toutes dernières grandes collections d’objets d’art de haute époque – avec celle de Victor Martin Le Roy – de la seconde moitié du XIXe siècle. »
Flandres
Armes : d’argent à l’aigle éployée de sable.
Seigneur
des Rosiers, de la Motte, de Ponchel-Englier, des Léopards, de
Wevelsberghe, de Lannoy, de Planques, de Coeurlu, d’Haffringues,
de Watterdal, de Vaudringhem, de Drionville, de Wattierssart.
Branches Lenglart, Lenglart de Vaudringhem, Lenglart d’Haffringue.
Famille citée dès 1289 dans les comptes de la ville de Lille (manuscrit 601 pièce 11).
Jean-Pierre LENGLART est l'auteur d'une somme sur sa famille:
"Les descendants de Guillaume Lenglart de 1490 à nos jours" Treillières, château de Fayau, 44240 La Chapelle-sur-Erdre: CID éditions
Marie Dehau Lenglart, Livre de famille, publié par M-R et J-L Pelon (éd. L'Epi d'or, 2001)
-
Jean-Pierre Lenglart d’Haffringue, Chevalier de la Légion
d’Honneur et de l’Ordre National du Mérite,
Chevalier de Malte, Notaire Honoraire 1944 époux de Claude Monin
La lignée :
I- Guillaume Lenglart
Né à Fromelles entre 1490 et 1510
Epouse X
Décédé après 1563 à cette date habitait Fromelles – dont :
II- Jacques Lenglart
Né à Fromelles entre 1530 et 1537
Décédé avant 1584
X
contrat Me Desmuliers, Notaire à Lille du 23
Juillet 1563 Catherine Fremault décédée le 24
Janvier 1623 à Lille – dont :
III- Pierre Lenglart
Baptisé le 26 Septembre 1562 Saint Etienne de Lille
Décédé à Arras la 7 Novembre 1595
Marchand apothicaire à Arras,
Bourgeois d’Arras et de Lille
x Marie Foucquier, née vers 1575
Décédée 1605/1606
Branché ainée
IV- Pierre
Lenglart baptisé le 9 Août 1600 Saint Etienne de Lille,
décédé avant 1648, docteur en
médecine,Bourgeois de Lille et d’Arras, x Anne de
Lespierre, dame de Ponchel-Englier, décédée
après 1661 – dont :
V- Guillaume
Lenglart, seigneur de Ponchel-Englier baptisé le 9 Mai 1629
Saint Géry d’Arras, décédé
après 1672, Bourgeois de Lille et d’Arras, x le 22 Juin
1666 Saint Etienne de Lille Catherine de Fontaine (aujourd’hui de
Fontaine de Resbecq) baptisée le 28 Mars 1639,
décédée le 29 juin 1672 Saint- Maurice de
Lille – dont :
a) Hubert Lenglart, qui suit,
b) Guillaume
Lenglart, seigneur d’Haffringue, Coeurlu , Vaudringhem,
Watterdal, Drionville, avocat au Conseil d’Artois, x de
Marie-Louise Hebert, sous branche éteinte dans les familles
de Raismes, d’Hermansart, de Boissier, de Mauleon- Narbonne,
de Benoist de Gentissart, Bernart de Courville, de l’Estang du
Rusquec, Guillet de la Brosse, de Guerdavid, Le Marois.
VI- Hubert
Lenglart, seigneur des Rosiers, la Motte, Ponchel-Englier, Lannoy,
les Léopards et Wevelsberghe, baptisé le 25 mai 1668
Saint Etienne, Lille, décédé le 10 Novembre 1732
Saint-André, Lille, avocat au Parlement de Flandre, Echevin
de Lille, Bourgeois de Lille, Grand Juge de la Chambre Consulaire
x le 30 Décembre 1698 Saint-Catherine, Lille,
Marie-Madeleine Guidin, baptisée le 22 Mai 1663
Saint-Etienne, Lille décédée le 10 Octobre 1715
dont en autre :
VII- Nicolas
Hubert Joseph Lenglart, seigneur de la Motte, Ponchel-Englier,
Lannoy, Bourgeois de Lille, Echevin de Lille, Négociant en
dentelle, baptisé le 18 Juin 1701 Saint-Maurice Lille,
décédé le 18 Juillet 1766 Saint Etienne Lille, x
Alexandrine Gabrielle Albéricque Carpentier,
baptisée le 22 Janvier1711 Saint Maurice Lille
décédé le 14 Janvier 1778 Saint-Etienne,
dont :
a) Charles Joseph Marie Lenglart qui suit
b) Marie-Alexandrine Lenglart, 1742+1822 x 1760 Charles-Louis Virnot de la Missart
c) Marie-Reine Blanche Josephe Lenglart 1744+1917
x 1765 Jean-Chrysostome de Brigode de Canteleu (sans postérité)
d) Catherine Josephe Charlotte Lenglart 1745+1818
x 1764 Dominique Urbain Virnot, 1734+1794 (frère de Charles Louis de la Missart.
VIII- Charles
Joseph Marie Lenglart, seigneur de Lannoy et de Planques,
Chevalier du Lys par le Roi Louis XVIII le 25 Juillet 1814,
Bourgeois de Lille, Echevin de Lille, Négociant,
Banquier, Conseiller Municipal, Trésorier de la ville de
Lille, Président du Canton de 1813 à 1816,
Député de la ville de Lille au sacre de Napoléon,
Conservateur du Musée de Lille, baptisé le 22 Mars 1740
Saint-André Lille, décédé à Lille le
19 Novembre 1816 x à Bruxelles le 17 Février 1767
Marie-Anne van Nuffel, baptisée le 5 Mars 1744 à
Saint-Gery Bruxelles, décédée le 22
décembre 1825, fille d’un Grand Juge de la Chambre
des Tonlieux (aujourd’hui van
Nuffel d’Heynsbroeck) Voir ci-après
l’article « Un mécène et collectionneur
du Siècle des Lumières » – dont en
autre :
IX-
Charles Lenglart et Marie van Nuffel
(par Heinsius)
Portrait ( fragment), collection R Bonduelle
X- Philippe
Henry Joseph Lenglart, Raffineur de sucre, baptisé le 6 avril
1785 Saint-Maurice Lille, décédé
à Fives le 11 décembre 1852, x le 20 Octobre 1813
Adelaïde Lancel, née à Lumbres (62) le 21
Septembre 1794, décédé le 11 Mars 1943
à Fives, dont en autre :
a) Jules Charles Lenglart qui suit X
b) Auguste Henry Lenglart qui suivra X bis
XI- Jules
Charles Lenglart, né le 39 Octobre 1824 à Fives,
décédé le 18 Janvier 1901 à Lille, x le 26
Avril 1848 Nellie Trippier, née le 22 Septembre 1837 à
Lille, décédée le 30 Juillet 1905 à Paris,
fille d’Alexandre, Marchand-Droguiste, et de Julie Jonglez – dont en autre :
XII- Henri-Louis Florimond
Lenglart, né le 20 Décembre 1860 Lille,
décédé le 30 Avril 1935 à Paris x le 7
Septembre 1886 Jeanne Lefebvre née le 10 Octobre 1864
à Roubaix, décédée le 27 Mars 1915
à Paris, fille de Louis Florantin, Chevalier de la
Légion d’Honneur, Filateur et de Julie Mathon dont en
autre :
XIII- Jacques
Henry Jules Lenglart, Camérier du Pape, né le 6
Avril 1887 à Roubaix, décédé le 30
Août 1963 à Veretz (37) x le 23 Juin
1911 à Roubaix, Marthe Xavérine Prouvost, née
le 20 Août 1888 à Roubaix, décédée le
2 septembre 1963 à Veretz dont :
a) Jacqueline
Jeanne Marie Lenglart, née le 12 Avril 1912 à Roubaix,
décédée à Veretz le 22 septembre 1997 x le
26 octobre 1932 Henri de Maintenant, Commandeur de la Légion
d’Honneur, Colonel, dont 12 enfants
b) Jeanne
Chantal Lenglart, née le 14 Août 1915 à Veretz x le
5 juin 1939 Serge Libersart, Officier de la Légion
d’Honneur, Colonel, dont 4 enfants
c) Marie Assumpta Lenglart, née le 14 Août 1915 à Veretz, décédée célibataire – jumelle de la précédente.
Château de Veretz Jacques Lenglart et Marthe Prouvost
X bis Auguste Henri Lenglart,
né le 2 février 1826 à Fives,
décédé le 12 novembre 1907 à Lille x le 12
septembre 1848 à Lille, sa cousine, Claire Henriette Barrois,
née le 26 août 1829 à Wazemmes,
décédée le 22 octobre 1908 à Lille, fille
d’Henri Thomas, filateur et d’Adélaïde
Alexandrine Le Thierry d’Ennequin, dont :
a) Marie-Claire
Adélaïde Lenglart, née le 9 août 1844 à
Fives, décédée le 12 avril 1940 à Bouvines
x le 21 novembre 1868 à Lille, Félix Etienne Marie Joseph
Dehau, né le 22 janvier 1846 à Lille,
décédé le 19 août 1934 à Bouvines,
Chevalier de la Légion d’Honneur, Docteur en Droit, Maire
de Bouvines de 1872 à 1934, Doyen des Maires de France,
Conseiller Général, voir descendance dans les Familles
Dehau, Prouvost, Bonduelle, Jeanson, Philippe, Rollinde de Beaumont
Catherine Joseph Charlotte Lenglart, née le 5 avril 1745, décédée le 30 juin 1818, Lille (73 ans),
mariée le 4 juin 1764, Lille, avec Urbain Dominique Virnot, né le 15 avril 1734, Lille, décédé le 1er juin 1794, Condé sur l'Escaut (60 ans),
Jean Chrysostome de Brigode de Canteleu, comte, échevin avait épousé Marie-Reine Lenglart,
Nous
pouvons comparer les portraits familiaux, ci dessus, avec beaucoup des
dessins des Watteau de Lille, ci-dessous, provenant de la collection de
Charles Lenglart, principal mécène et immédiat
parent des Virnot, Prouvost, Quecq d’Henriprêt, Lethierry
d’Ennequin, Barrois, de Fosseux, de Raismes etc…On peut facilement
imaginer que les modèles appartiennent à ces
familles : le tableau ci-dessous pourrait parfaitement se passer
dans un des hôtels familiaux.
Autre grand collectionneur lillois de l'époque.
Branche cadette : Adrien Lenglart 1601-1677 & Jeanne du Gardin 1605
Branche cadette de Wattiessart
(La branche ainée est éteinte depuis le décès de Jacques Lenglart en 1969.
Cette branche cadette est devenue la branche ainée)
Cette branche était représentée au XVIIéme
par Adrien Lenglart 1601-1677 x Jeanne du GARDIN (Famille citée
à Seclin en 1456 qui a occupé un rang distingué
dans l’administration de la cité ; probablement issue
de Jean de La Hallerie, bailli de Seclin de 1389 à 1415,
archives du Nord série B n°1865 t 1869 et au XXème
siècle à la XIIème génération par
trois frères et une sœur, notamment :
XII) Louis
Lenglart, Chevalier de la Légion d’honneur, Docteur en
droit, Conseiller à la Cour de Douai, puis Président
du Tribunal d’Arras, 1875 + 1956 x Madeleine Henseval + 1900 x
1913 Louise Deffrennes (1) 1889+1982
Dont entre autre :
A) Louis
Lenglart, Licencié en droit, D.E.S. sciences économiques,
D.E.S. droit privé, Expert près de la Cour d’appel
de Douai 1914 + 2000 x 1941 Françoise Becu 1919 + 2011
Dont entre autre
a) Louis
Francis Lenglart 1942, chef de nom et d’armes,
Diplômé de l’Ecole Supérieure de Commerce de
Lille, x Joannick Delerue
Dont entre autre :
a1) Louis-Guillaume Lenglart, ingénieur commercial 1972 x 2000 Laure Guignard
Dont entre autre :
- Louis Lenglart, 2005
B) Yves Lenglart, imprimeur 1928 + 1984 x 1955 Geneviève Château 1928
Dont 7 enfants entre autre :
a) Hervé Lenglart 1965 x 1994 Nathalie Oncieu de La Batie, fille de Charles et de Sylvie Bertrand des marquis de La Batie, qui ont donné des maire
de Chambéry, lieutenant-général de cavalerie,
ministre d'état de royaume de Sardaigne, gouverneur
général du duché de Savoie., colonel de cavalerie,
gentilhomme du roi de Sardaigne., président de l'académie
des sciences, belles-lettres et arts de Savoie (1870-1872).,
camérier de Pie X,
Dont 2 filles.
XIIbis) Pierre Lenglart, Chevalier du Mérite Agricole, 1881 + 1970 x 1907 Marie van Damme (2) 1887+1980 fille d’Adolphe et de Marie van Neste (3)
Dont entre autre
A) Pierre
LENGLART, Officier de la Légion d’honneur, Croix de Guerre
39-45 avec palmes (3 citations), Médaille des Blessés,
Notaire honoraire, Officier honoraire de Cavalerie, 1915+2013,
Cité le 08/09/1941 pour son action :
« Jeune officier ayant fait preuve des plus belles qualités d’entrain et de courage. A été blessé le 19 mai 1940 alors qu’il tentait de franchir un tir de barrage ennemi à Taizy »
Signé le Général Huntzinger
Précision : le tir de barrage a été franchi et la mission accomplie.
X 1943 Yolande Valery (4) 1923+20136 fille de Jean-Lucien, Officier de la Légion
d’Honneur, Croix de Guerre 14-18, Médaille des
Blessés, Officier du Mérite Agricole, Officier du
Mérite Social, Officier des Palmes Académiques, Chevalier
de la Santé Publique, etc. Premier Vice-Président du
Conseil
Général
de la Vendée, Maire de Saint-Etienne du Bois (85), Docteur en
Droit, avocat, et de Yolande Dodin
(arrière-arrière-petite-fille de Louis Le Couvreur,
chevalier de Saint-Louis, colonel des Armées catholiques et
royales, aide de camp du Général Charette.
Dont : 4 fils et une fille : Marie-Pierre Lenglart épouse d’Eric Hauray, notaire Honoraire, Ancien Président du Conseil Régional des Notaires de la Cour
d’Appel de Rennes et de la Chambre Départementale des
Notaires de Loire-Atlantique, dont postérité.
notamment :
a) Jean-Pierre Lenglart de Haffringue (5) : Chevalier de le Légion d’Honneur, Chevalier
de l’Ordre National du Mérite, Médaille des
Services Militaires Volontaires, Chevalier de l’Ordre de Malte,
diplômé de l’Institut de Hautes Etudes de
Défense Nationale, Officier Honoraire de l’Arme
Blindée Cavalerie, Notaire Honoraire, 1944 X
1969 Claude Monin (6), fille de Paul : Chevalier de l’Ordre
National du Mérite, Industriel, Président Honoraire de la
Chambre de Commerce du Cher, 1948
Dont :
a1) Guillaume Lenglart de Haffringue : Docteur en Droit ; Avocat à la Cour, 1972 X 2005 Johanne Riallot, Avocat à la Cour
Dont :
- Arthur Lenglart de Haffringue 2007
- Jules Lenglart de Haffringue 2009
a2) Marie-Alix Lenglart de Haffringue : Diplôme Supérieur de Notariat, Notaire, 1975 X 1999 Nicolas Le Bec (7), fils de Tanguy et de Marie-Thérèse de Leseleuc de Kerouara (8),
Dont :
- Maximilien Le Bec 2003
- Alexandre Le Bec 2006
- Angélique Le Bec 2009
- Agathe Le Bec 2012
B) Anne-Marie Lenglart 1922 X 1946 le Professeur Jacques Crinquette, Médecin Pneumologue
Dont : 4 enfants : 1 fils et 2 filles, Médecins,
Et :
a) Anne
Crinquette, Chevalier de la Légion d’Honneur, Chevalier
des Palmes Académiques, Docteur en Sciences Odontologiques,
Professeur à la faculté de Chirurgie Dentaire de Lille,
Expert près de la Cour d’appel de Douai 1949 X Dominique
Claisse 1971
Dont postérité.
Inventaire des meubles, or, argent délaissés par le trépas du
Sr. Charles Hubert Joseph LENGLART Sr. des ROSIERS,
père de Charles Joseph Lenglart, Marie-Anne Virnot de Lamissart, Catherine Charlotte Virnot, Marie-Reine de Brigode
fait dans sa demeure de la rue Royale, le 15 septembre 1781
(Texte issu de l'ouvrage de Jean-Pierre LENGLART:
"Les descendants de Guillaume Lenglart de 1490 à nos jours"
l'ouvrage de Jean-Pierre LENGLART:
"Les descendants de Guillaume Lenglart de 1490 à nos jours"
Jusqu'à la 11e génération. Base Roglo avec nos remerciements.
Guillaume
Lenglart, né entre 1490 et 1510, décédé.
Marié avec ? ?,
dont
·
Hélène Henriette
Lenglart, née le 23 février 1849,
Fives, décédée.
Mariée le 12 août 1868,
Lille (Nord), avec Paul Marie Delemer,
né le 13 mai 1845,
Fives, décédé, dont
o Jules Delemer, né le 3 septembre 1869,
décédé le 26 février 1916
(à l'âge de 46 ans), docteur ès Sciences, professeur à l'Université catholique
de Lille.
Marié avec Marie Bécue,
née avant 1885.
o Eugénie Delemer, née
en 1871, décédée.
o André Delemer, né
en 1873, décédé.
o Madeleine
Delemer, née en 1875, décédée.
o Jeanne Delemer, née
en 1877, décédée.
o Pierre Delemer, né
en 1880, décédé.
·
Louise Lenglart, née le 10 mars 1851,
Lille (59, Nord), décédée.
Mariée le 12 juillet 1870,
Lille (59, Nord), avec Louis Lefebvre,
né le 22 avril 1847,
Roubaix (59, Nord), décédé le 27 juin 1908
(à l'âge de 61 ans), filateur de laine, dont
o Louis Jules
Alexandre Henri Lefebvre, né le 30 septembre 1871,
Roubaix (59, Nord), décédé en octobre 1917, Paris (75) (à l'âge de 46
ans), filateur.
o Maurice Lefebvre, né le 2 mars 1873,
Roubaix (59), décédé le 4 octobre 1934,
Roubaix (59) (à l'âge de 61 ans), industriel.
Marié le 29 avril 1905,
Lille, avec Mathilde Ibled,
née le 25 novembre 1885,
Lille (59, Nord), décédée le 23 mai 1970,
Roubaix (59, Nord) (à l'âge de 84 ans).
·
Henri Louis
Lenglart, né le 20 décembre 1860,
Lille (59, Nord), décédé, négociant.
Marié le 7 septembre 1886,
Roubaix (59, Nord), avec Jeanne Marie
Lefebvre, née le 10 octobre 1864,
Roubaix (59, Nord), décédée le 27 juin 1908,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 43 ans), dont
o Jacques Lenglart, né le 6 août 1887,
Roubaix (59, Nord), décédé le 30 août 1969,
Veretz (37, Indre-et-Loire) (à l'âge de 82 ans).
Marié le 23 juin 1911,
Roubaix (59, Nord), avec Marthe Prouvost,
née le 2 août 1888,
Tourcoing (59, Nord), décédée le 2 septembre 1963,
Veretz (37, Indre-et-Loire) (à l'âge de 75 ans).
o Robert Jean Albert
Lenglart, né le 5 octobre 1888,
Roubaix (59, Nord), décédé le 7 avril 1891
(à l'âge de 2 ans).
o Georges Paul
Jean Lenglart, né le 21 février 1892,
Roubaix (59, Nord), décédé le 4 mai 1906,
Roubaix (59, Nord) (à l'âge de 14 ans).
o Marcel Louis
Robert Lenglart, né le 27 février 1894,
Roubaix (59, Nord), décédé le 11 octobre 1967,
Epinay-sur-Orge (91, Essonne) (à l'âge de 73 ans).
Marié le 2 août 1928,
Strasbourg (67, Bas-Rhin), avec Madeleine Jeanne
Berthe Racine, née le 3 novembre 1903,
Amiens (80, Somme).
·
Marie Adélaïde
Lenglart, née le 9 août 1849,
Fives, Lille (Nord), décédée le 12 avril 1940,
Bouvines (Nord) (à l'âge de 90 ans).
Mariée le 21 novembre 1868,
Lille (Nord), avec Félix Dehau,
né le 22 janvier 1846,
Lille (Nord), décédé le 19 août 1934,
Bouvines (Nord) (à l'âge de 88 ans), docteur en droit, maire de Bouvines, dont
o Pierre Dehau, né le 5 août 1870,
Bouvines (Nord), décédé le 21 octobre 1956
(à l'âge de 86 ans), religieux dominicain.
o Félicie Valérie
Dehau, née le 7 juillet 1871,
Bouvines (Nord), décédée en 1962, Paris (à l'âge de 91 ans).
Mariée le 9 juin 1890,
Bouvines (59, Nord), avec Georges Louis
Prouvost, né le 14 juin 1866,
Roubaix (Nord), décédé le 6 août 1926,
Lille (Nord) (à l'âge de 60 ans).
o Claire Dehau, née
en 1872, décédée en 1932 (à l'âge de 60 ans), en religion (soeur de
St Vincent de Paul).
o Marie Madeleine
Dehau, née le 2 avril 1874,
Bouvines (Nord), décédée le 11 juillet 1929,
Renescure (Nord) (à l'âge de 55 ans).
Mariée le 16 mai 1893,
Bouvines (Nord), avec André Bonduelle,
né le 7 novembre 1868,
Marquette-lez-Lille (Nord), décédé le 9 août 1946,
Renescure (Nord) (à l'âge de 77 ans).
o Marthe Dehau, née le 8 juin 1875,
Bouvines (Nord), décédée le 8 juin 1875,
Bouvines (Nord).
o Marthe Dehau, née le 10 octobre 1876,
Bouvines (Nord), décédée le 14 mars 1924,
Paris (75) - 16e arrondissement (à l'âge de 47 ans).
Mariée le 19 avril 1897,
Bouvines (Nord), avec Charles Jeanson,
né le 30 mai 1874,
Armentières (Nord), décédé le 9 juillet 1930,
Paris 16ème (à l'âge de 56 ans) (filleule: Brigitte Jeanson
1919) (Contrat reçu
le même jour par Me Brunel, notaire à Cysoing, Nord).
o Elisabeth Dehau, née le 29 mars 1878,
Bouvines (Nord), décédée vers 19 juin 1968,
Bouvines (Nord) (à l'âge de peut-être 90 ans).
Mariée le 6 août 1901,
Bouvines (Nord), avec Henri Philippe,
né le 26 septembre 1875,
Lille (Nord), décédé le 12 juillet 1959,
Bouvines (Nord) (à l'âge de 83 ans), notaire à Cysoing.
o Louise Dehau, née
en 1881, décédée en 1948 (à l'âge de 67 ans).
o Henriette Dehau, née le 6 avril 1884,
Bouvines (Nord), décédée le 25 juillet 1953
(à l'âge de 69 ans).
Mariée le 19 avril 1903,
Bouvines (Nord), avec Louis Rollinde
de Beaumont, né le 15 mars 1879,
Cambrai (Nord), décédé le 29 décembre 1943
(à l'âge de 64 ans), avocat, Batonnier.
o Jean Dehau, né le 5 février 1888,
Bouvines (Nord), décédé le 5 août 1959,
Paris (à l'âge de 71 ans), propriétaire agriculteur.
Marié le 14 mai 1912
avec Thérèse Davaine,
née le 22 janvier 1891,
Saint-Amand-les-Eaux (Nord), décédée en 1965 (à l'âge de 74 ans).
·
Agathe
Alexandrine Quecq d'Henripret, née le 15 juillet 1816,
Lille, Nord, décédée le 23 janvier 1887,
Lille, Nord (à l'âge de 70 ans).
Mariée le 15 juin 1845,
Lille, Nord, avec Camille de Vicq,
né le 30 mars 1815,
Lille, décédé le 10 avril 1894,
Lille (Nord) (à l'âge de 79 ans), marguillier de Ste-Catherine à Lille, dont
o Roland Alexandre
de Vicq, né le 30 septembre 1846,
Lille, Nord, décédé le 1er août 1914,
Bonsecours, Belgique (à l'âge de 67 ans), prêtre, chanoine de Meaux.
o Elise de Vicq, née le 17 juillet 1848,
Lille, décédée le 27 février 1902,
Nielles-lès-Ardres (à l'âge de 53 ans).
Mariée le 29 juillet 1873,
Lille, avec Albert Moullart de
Vilmarest, né le 11 septembre 1840,
Ecuires.
o René Marie Jules
de Vicq, né le 10 janvier 1850,
Lille, Nord, décédé en 1861 (à l'âge de 11 ans).
o Fernand de Vicq, né le 17 octobre 1852,
Lille, Nord, décédé en octobre 1920 (à l'âge de 68 ans).
Marié le 12 avril 1883,
Lille (Nord), avec Denyse Scherer
de Scherbourg, née le 29 décembre 1856
(Sans postérité).
·
Charles Arthur
Quecq d'Henripret, né le 20 juin 1818,
Lille (59), décédé le 25 juillet 1902,
Lille, Nord, inhumé, Bondues (à l'âge de 84 ans).
Marié le 30 août 1866,
Leignon, Belgique, avec Mathilde van
Eyll, née le 23 septembre 1827,
Malines, décédée le 17 février 1914,
Lille, inhumée, Bondues (à l'âge de 86 ans), dont
o Marie Quecq
d'Henripret, née le 9 mai 1868,
Lille (Nord), décédée le 27 octobre 1945,
château de l'Abbaye, Witternesse (Pas-de-Calais) (à l'âge de 77 ans).
Mariée le 27 mai 1891,
Lille (Nord), avec Mizaël Le Mesre
de Pas, né le 21 avril 1866,
Gand (Belgique), décédé le 26 février 1941,
Beauvoir (Loir-et-Cher) (à l'âge de 74 ans).
·
Adeline Amélie
Laure Marie Thérèse Quecq d'Henripret, née le 24 juin 1822,
Lille, Nord, décédée le 26 octobre 1853,
château de Lumbres, Saint-Omer (à l'âge de 31 ans).
Mariée le 6 septembre 1853
avec Auguste de
France de Helican, né le 23 septembre 1822,
Saint-Omer (62), décédé le 24 septembre 1871
(à l'âge de 49 ans).
·
Gustave Quecq
d'Henripret, né le 14 avril 1828,
Lille (59), décédé le 20 juillet 1876
(à l'âge de 48 ans).
Marié le 17 septembre 1865,
Lille, avec Sarah de Madre
de Norguet, née le 23 mars 1843,
Lille, décédée le 2 juillet 1899,
La Buissière (à l'âge de 56 ans), dont
o Louise Marie
Quecq d'Henripret, née le 11 février 1870,
Lille, Nord.
Mariée le 11 février 1890,
Lille, Nord, avec Étienne de Girod
de Resnes, né le 10 février 1855,
Beaumetz-les-Loges, officier de cavalerie, capitaine de réserve au 5ème
régiment de Dragons en 1890 (fils adoptif: Jean de Guillebon
de Resnes 1899-1963).
o Henri Quecq
d'Henripret, né le 15 juillet 1872,
Lille, décédé.
Marié le 28 août 1900,
château de Marchin, Belgique, avec Cécile de Robiano,
née le 3 décembre 1878,
Bruxelles, Belgique, décédée le 15 mars 1921
(à l'âge de 42 ans).
·
Laurence Quecq
d'Henripret, née le 21 mars 1840,
Cambrai (Nord).
Mariée le 8 septembre 1863
avec Paul, baron d'Haubersart,
né le 12 juillet 1833,
Douai (Nord), décédé le 20 mai 1868,
Paris, inhumé, Cambrai (Nord) (à l'âge de 34 ans), secrétaire d'ambassade, dont
o Marthe
d'Haubersart, née le 5 septembre 1866,
Cambrai (Nord), décédée le 25 mars 1941,
Viroflay (Yvelines) (à l'âge de 74 ans).
Mariée le 30 décembre 1885,
Douai (Nord), avec Raoul, baron des Rotours
(3e), né le 8 avril 1860,
Avelin (Nord), décédé le 28 mars 1900,
Avelin (Nord) (à l'âge de 39 ans), député de Douai (1897-1900).
o Maurice
d'Haubersart, né le 22 août 1867,
Cambrai (Nord), décédé le 3 septembre 1867
(à l'âge de 12 jours).
·
Jean Baptiste
Barrois, né le 28 janvier 1824,
Lille, décédé le 19 août 1872
(à l'âge de 48 ans).
Marié le 12 novembre 1855,
Bruges, avec Elisabeth Chalant,
dont
o Clémentine
Barrois, née le 2 novembre 1856,
décédée en 1879 (à l'âge de 23 ans).
Mariée le 20 juin 1874
avec Raymond Théry,
né le 25 août 1848,
décédé, notaire.
·
Cécile
Alexandrine Barrois, née le 15 octobre 1825,
Lille, décédée le 23 mai 1883
(à l'âge de 57 ans).
Mariée le 5 août 1851
avec Oscar Dubus,
né en 1818, Orchies 59, décédé le 14 mai 1871,
Lille (à l'âge de 53 ans), bâtonnier de l'Ordre des Avocats, dont
o Berthe Dubus, née le 18 juin 1852,
décédée le 12 octobre 1926
(à l'âge de 74 ans).
Mariée le 14 mai 1873
avec Charles-Emile
Delesalle, né le 4 février 1850,
Lille (Nord), décédé le 16 juillet 1923
(à l'âge de 73 ans), filateur de lin, maire de Lille, conseiller général du
Nord.
·
Urbain Dominique
Virnot, né le 14 juin 1837,
Lille (59, Nord), décédé le 24 janvier 1914,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 76 ans).
Marié le 9 octobre 1860,
Lille (59, Nord), avec Louise Angélique
Félicie Derode, née le 28 mai 1841,
Lille (59, Nord), décédée le 30 septembre 1870,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 29 ans), dont
o Victor Virnot, né le 22 janvier 1862,
Lille (Nord), décédé le 28 janvier 1944,
Lille (Nord) (à l'âge de 82 ans).
Marié le 25 juillet 1889
avec Marie Bocquet,
née le 26 août 1867,
Lille (Nord), décédée le 2 septembre 1903,
Mons-en-Baroeul (Nord) (à l'âge de 36 ans).
Marié avec Berthe Cailliau,
née le 1er décembre 1872,
Tournai (Hainaut, Belgique), décédée.
o Albert Dominique
Virnot, né le 17 octobre 1864,
Lille (59, Nord), décédé le 18 octobre 1910,
Paris (75) (à l'âge de 46 ans).
Marié le 12 novembre 1890,
Paris (75), avec Thérèse Tourangin,
née le 12 novembre 1870,
Évreux (27, Eure), décédée le 15 janvier 1920,
Mons-en-Baroeul (59, Nord) (à l'âge de 49 ans).
o Urbain Daniel
Virnot, né le 25 juillet 1869,
Mons (Belgique), décédé le 17 novembre 1951,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 82 ans).
Marié le 4 mai 1895,
Lille (59, Nord), avec Marguerite Ovigneur,
née le 9 juillet 1873,
Lille (59, Nord), décédée le 22 mars 1933,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 59 ans).
Marié le 11 juin 1878
avec Marie Augusta
Gamonez, décédée le 11 septembre 1919.
·
Julie Jeanne
Virnot, née le 27 décembre 1839,
Lille (Nord), décédée en 1908 (à l'âge de 69 ans).
Mariée le 1er août 1859,
Lille (Nord), avec Henri Joseph
Barrois, né le 17 octobre 1833,
Lille (Nord), décédé le 20 juillet 1872,
Lille (Nord) (à l'âge de 38 ans), dont
o Henri François
Barrois, né le 4 octobre 1863,
Lille, Nord, décédé le 9 octobre 1927,
Douai, Nord (à l'âge de 64 ans), filateur de coton.
Marié le 19 avril 1887
avec Marguerite Céline
Adèle Decoster, née le 25 décembre 1865,
décédée le 4 janvier 1953
(à l'âge de 87 ans).
o Adolphe Emile Barrois, né le 21 février 1865,
Lille (Nord), décédé le 7 juin 1940,
Le Crotoy (Somme) (à l'âge de 75 ans), filateur de coton.
Marié le 4 juin 1889,
Lille (Nord), avec Pauline Elisa
Florin, née le 18 septembre 1868,
Lille (Nord), décédée le 21 mai 1890,
Lille (Nord) (à l'âge de 21 ans).
Marié le 30 mai 1893,
Roubaix (Nord), avec Ursule Caroline
Watine, née le 26 juin 1869,
Roubaix (59, Nord), décédée le 8 mai 1942,
Limoges (87, Haute-Vienne) (à l'âge de 72 ans).
o Auguste Urbain
Barrois, né le 28 novembre 1866,
Lille (Nord), décédé le 4 mars 1908,
Lille (Nord) (à l'âge de 41 ans).
Marié le 31 mars 1894
avec Claire Charlotte
Le Thierry d'Ennequin, née le 18 juillet 1875,
Lille (Nord), décédée en 1908 (à l'âge de 33 ans).
·
Henri Louis
Arnaud Faure, né le 28 mars 1831,
Wazemmes, Lille (Nord), décédé le 15 août 1899,
Lille (Nord) (à l'âge de 68 ans), fabricant de céruse.
Marié le 8 mai 1855,
Wazemmes (59), avec Virginie Marie
Delcourt, née le 9 septembre 1836,
Valenciennes (Nord), décédée le 4 février 1892,
Lille (Nord) (à l'âge de 55 ans), dont
o Henri Charles
Faure, né le 11 août 1856,
Wazemmes, Lille (Nord), décédé le 21 mai 1929,
Tournai (Hainaut, Belgique) (à l'âge de 72 ans), industriel, propriétaire.
Marié le 31 mai 1881,
Lille, avec Marie Charlotte
Lucie Rouzé, née le 25 mars 1860,
Lille (Nord), décédée le 18 avril 1889,
Lille (Nord) (à l'âge de 29 ans).
o Louise Faure, née le 16 janvier 1858,
Lille (Nord), décédée le 3 janvier 1924,
Douai (Nord) (à l'âge de 65 ans).
o Claire Faure, née le 1er février 1859,
Lille (Nord), décédée le 20 avril 1899,
Lille (Nord) (à l'âge de 40 ans).
Mariée le 3 août 1881,
Lille (Nord), avec François
Lefebvre, né le 16 janvier 1857,
Wazemmes (Nord), décédé le 21 novembre 1933,
Lille (Nord) (à l'âge de 76 ans), industriel filateur.
·
Marie Geneviève
Faure, née le 19 mai 1835,
décédée le 18 avril 1900
(à l'âge de 64 ans).
Mariée le 20 mai 1856
avec Jules Verley,
né en 1833, décédé en 1881 (à l'âge de 48 ans), dont
o Jules Verley, né
en 1858, décédé en 1901 (à l'âge de 43 ans).
Marié avec Isabelle Galloo,
née en 1864, décédée en 1901 (à l'âge de 37 ans).
o Sophie Verley, née
en 1859, décédée en 1928 (à l'âge de 69 ans).
Mariée le 22 avril 1879,
Haubourdin (Nord), avec Albert Cuvelier,
né le 2 septembre 1854,
Haubourdin (Nord), décédé le 6 mars 1935,
Haubourdin (Nord) (à l'âge de 80 ans).
o André Verley, né
en 1860, décédé en 1922 (à l'âge de 62 ans).
o Louis Verley, né
en 1862, décédé.
o Pierre Verley, né le 30 juin 1864,
Haubourdin (Nord), décédé le 23 décembre 1934,
Haubourdin (Nord) (à l'âge de 70 ans), industriel.
Marié le 24 juin 1890,
Radinghem-en-Weppes (Nord), avec Marguerite
Galloo, née le 12 mai 1869,
Radinghem-en-Weppes (Nord), décédée le 10 mars 1956,
Haubourdin (Nord) (à l'âge de 86 ans).
o Joseph Verley, né
en 1866, décédé en 1916 (à l'âge de 50 ans).
o Marie-Thérèse
Verley, née en 1868, décédée en 1909 (à l'âge de 41 ans).
o Germaine-Léonie
Verley, née en 1869, décédée en 1940 (à l'âge de 71 ans).
·
Prudence
Delebecque, née le 10 avril 1808,
Gand (Belgique), décédée le 8 avril 1868,
Bailleul (Nord) (à l'âge de 59 ans).
Mariée le 24 janvier 1827,
Lille (59, Nord), avec Lucien Marie Le
Thierry d'Ennequin, né le 14 septembre 1799,
Wazemmes, Nord, décédé le 1er novembre 1883,
Lille, Nord (à l'âge de 84 ans), voir plus loin.
·
Marie Eléonore
Catherine Delebecque, née le 24 juillet 1809,
Gand (Belgique), Saint Michel, décédée le 16 juillet 1847,
Templeuve (59, Nord) (à l'âge de 37 ans).
Mariée en 1832 avec Etienne Ubald
Demesmay, né en 1797, décédé le 21 janvier 1869,
Templeuve, Nord (à l'âge de 72 ans), chimiste, fabricant de sucre à Templeuve,
membre de la Chambre de Commerce de Lille, dont
o Paul Demesmay, né le 12 octobre 1830,
Lille (Nord), décédé le 17 avril 1863
(à l'âge de 32 ans).
o Louise Demesmay, née le 6 octobre 1831,
Lille (Nord), décédée le 6 novembre 1897,
Lille (Nord) (à l'âge de 66 ans).
Mariée le 21 septembre 1857,
Templeuve (59, Nord), avec Emile François Marie
Le Boucq de Rupilly, né le 21 septembre 1831,
Mérignies (Nord) (témoins: Alfred Le Boucq
de Rupilly 1821,
Alphonse Le
Boucq de Rupilly 1827,
Charles Demesmay
1806, Paul Demesmay
1830-1863).
o Jules Demesmay, né le 10 septembre 1833,
Lille (Nord), décédé le 23 mars 1879,
Lille (Nord) (à l'âge de 45 ans), propriétaire cultivateur à Templeuve.
Marié le 16 septembre 1861
avec Anastasie Fichelle.
o Léon Demesmay, né le 10 février 1835,
décédé le 19 février 1835
(à l'âge de 9 jours).
o Marie Demesmay, née le 26 juillet 1837,
décédée en 1850 (à l'âge de 13 ans).
o Léon Demesmay, né le 10 juillet 1838,
Templeuve (59, Nord), décédé le 5 novembre 1883,
Boisleux-au-Mont (62, Pas-de-Calais) (à l'âge de 45 ans), agriculteur au Sars
près Bapaume.
Marié le 25 août 1864,
Arras (62, Pas-de-Calais), avec Julienne Blondel.
o Charles Joseph Demesmay, né le 22 novembre 1840,
Templeuve (59, Nord), décédé le 4 mai 1892,
Templeuve (59, Nord) (à l'âge de 51 ans), agriculteur à Templeuve.
Marié le 16 avril 1869
avec Virginie Augustine
Wacquier.
o Etienne Demesmay, né le 14 mai 1843,
Templeuve (59, Nord), décédé le 30 avril 1890,
Narrosse (40, Landes) (à l'âge de 46 ans), propriétaire à Beaurains près Arras,
fabricant d'huile.
Marié le 27 février 1865
avec Louise Marie Julie
Blondel, née le 10 mai 1844,
décédée le 16 avril 1866,
Beaurains (62, Pas-de-Calais) (à l'âge de 21 ans).
o Félix Demesmay, né le 6 décembre 1845,
décédé le 1er mai 1902,
Templeuve (59, Nord) (à l'âge de 56 ans), agent de change, conseiller d'arrondissement.
·
Charles Amédée
Barrois.
·
Jules Barrois, né
en 1827, décédé en 1891 (à l'âge de 64 ans).
Marié avec Marie-Estelle
Vanderstraeten, née en 1830, décédée en 1891 (à
l'âge de 61 ans), dont
o Charles Barrois, né le 21 avril 1851,
Lille (Nord), décédé le 5 novembre 1939,
château de Sainte-Geneviève-en-Caux (Seine-Maritime) (à l'âge de 88 ans), géologue,
paléontologue.
Marié avec Henriette Bonte,
née le 27 septembre 1859,
Lille (59), décédée en 1947 (à l'âge de 88 ans).
o Jules Barrois, né
en 1852, décédé en 1943 (à l'âge de 91 ans).
Marié avec Marie Bruhy,
née en 1860, décédée en 1937 (à l'âge de 77 ans).
·
Claire Henriette
Barrois, née le 24 août 1828,
Wazemmes (Nord), décédée le 22 octobre 1908,
Lille (Nord) (à l'âge de 80 ans).
Mariée le 12 août 1848,
Lille (Nord), avec Auguste Henri Lenglart,
né le 7 février 1826,
Fives, Lille (Nord), décédé le 12 novembre 1907,
Lille (Nord) (à l'âge de 81 ans), voir ci-dessus.
·
Henri Joseph
Barrois, né le 17 octobre 1833,
Lille (Nord), décédé le 20 juillet 1872,
Lille (Nord) (à l'âge de 38 ans).
Marié le 1er août 1859,
Lille (Nord), avec Julie Jeanne Virnot,
née le 27 décembre 1839,
Lille (Nord), décédée en 1908 (à l'âge de 69 ans), voir ci-dessus.
Marié le 11 juin 1840,
Lille (Nord), avec Félicie Virnot,
née le 9 novembre 1817,
Marconne (62), décédée le 14 juin 1886,
Lille (59) (à l'âge de 68 ans), dont
·
Edouard Félix
Barrois, né le 20 août 1840,
Lille (Nord), décédé le 13 juin 1891,
Lille (Nord) (à l'âge de 50 ans).
Marié le 2 septembre 1868,
Lille (Nord), avec Louise Marie
Valérie Sagnier, née le 6 octobre 1849,
Toulon (Var), décédée en 1932 (à l'âge de 83 ans), dont
o Edouard Barrois, né le 14 octobre 1869,
Fives (59), décédé.
o Jeanne Barrois, née le 26 mars 1871,
Lille (Nord), décédée.
Mariée le 29 janvier 1895,
Lille (59, Nord), avec Auguste Asselin
de Williencourt, né le 6 août 1863,
Douai (Nord), décédé le 18 décembre 1937,
Toulon (Var) (à l'âge de 74 ans) (témoins: Théodore Barrois
1857-1920, Edouard Barrois
1869, Louis Fiévet
1843, Georges Asselin
1856-1928).
o Paul Louis
Barrois, né le 17 août 1873,
Fives (59), décédé le 30 mai 1924,
Toulon (83) (à l'âge de 50 ans).
o Lucie Marie
Clothilde Barrois, née le 16 juin 1878,
Lille (Nord), décédée en 1959, Seine et Marne (à l'âge de 81 ans).
Mariée le 19 août 1897,
Lille (Nord), avec Maurice Durosoy,
né le 3 mars 1869,
Grenoble (Isère), décédé en 1943, Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais) (à l'âge
de 74 ans), colonel de cavalerie, aide de camp du maréchal Lyautey.
·
Théodore Barrois, né le 14 mai 1825,
Lille (59), décédé le 19 octobre 1899,
Lille (59) (à l'âge de 74 ans), filateur de coton à Fives.
Marié le 10 mai 1848,
Lille, avec Pétronille
Carpentier, née le 1er décembre 1828,
Lille (59), décédée le 10 juillet 1910,
Lille (59) (à l'âge de 81 ans), dont
o Théodore Barrois, né
en 1850, décédé en 1856 (à l'âge de 6 ans).
o Maurice Barrois, né le 26 juin 1852,
Fives (59), décédé.
Marié le 25 juin 1877,
Haubourdin (59), avec Gabrielle Rose,
née le 25 août 1857,
décédée le 19 octobre 1926
(à l'âge de 69 ans).
o Théodore Barrois, né le 10 février 1857,
Lille (59), décédé le 9 juin 1920,
Neuilly sur Seine (à l'âge de 63 ans), médecin à Lille, professeur à la faculté
de médecine de Lille, administrateur des Mines de Lens
député du Nord (1898-1906).
Marié le 29 juillet 1891,
Loos, avec Marie Thérèse
Kiener, née en 1872, Lille (59), décédée le 26 octobre 1893
(à l'âge de 21 ans).
o Pétronille
Barrois, née le 28 août 1859,
Lille (59), décédée en 1926, Paris (à l'âge de 67 ans).
Mariée le 9 octobre 1879,
Paris, avec Jules Boutemy,
né le 4 décembre 1846,
Lannoy (59), décédé le 11 janvier 1900,
Lille (59) (à l'âge de 53 ans).
·
Gustave Barrois, né le 10 août 1829,
Fives (Nord), décédé le 25 mars 1885,
Lille (Nord) (à l'âge de 55 ans), filateur de coton.
Marié le 10 mai 1858,
Lille (Nord), avec Marie Henriette
Charvet, née le 22 août 1838,
Lille (Nord), décédée le 27 février 1916,
Dinard, Ille-et-Vilaine (à l'âge de 77 ans), dont
o Gustave Joseph
Barrois, né le 26 mars 1860,
Lille (Nord), décédé le 15 août 1920,
Marquillies (Nord) (à l'âge de 60 ans), filateur, fabricant sucre, agriculteur,
maire de Marquillies.
Marié le 8 décembre 1884,
Marquillies (Nord), avec Elise Brame,
née le 1er mars 1865,
décédée le 17 décembre 1925,
Lille (Nord) (à l'âge de 60 ans) (contrat 4/12/1884).
o Mariette Barrois, née le 15 juin 1862,
Lille (Nord), décédée le 30 juin 1908,
Lille (Nord) (à l'âge de 46 ans).
Mariée le 28 mai 1881,
Lille (Nord), avec Maurice Alfred
Joseph Wallaert, né le 7 octobre 1857,
décédé le 30 juin 1908
(à l'âge de 50 ans).
o Eugène Emile
Barrois, né le 7 octobre 1864,
décédé le 16 décembre 1866
(à l'âge de 2 ans).
·
Adèle Catherine
Le Thierry, née le 30 octobre 1817,
Lille (Nord), décédée le 7 février 1876,
Lille (Nord) (à l'âge de 58 ans).
Mariée le 18 mai 1836,
Lille, avec Victor Dominique
Virnot, né le 2 février 1803,
Lille, décédé le 17 juin 1868,
Lille (à l'âge de 65 ans), voir ci-dessus.
·
Sophie
Alexandrine Le Thierry.
Mariée le 17 avril 1855,
Lille (Nord), avec Félix Jean Baptiste
Cuvelier, né le 31 mars 1828,
Lille (Nord), décédé le 18 décembre 1890,
Lille (Nord) (à l'âge de 62 ans), négociant, dont
o Lucie Sophie
Cuvelier, née le 6 décembre 1858,
Neuilly-sur-Seine (92, Hauts-de-Seine), décédée le 24 mai 1928,
Neuilly-sur-Seine (92, Hauts-de-Seine) (à l'âge de 69 ans).
Mariée le 21 février 1879,
Lille (59, Nord), avec Georges Henri Mathon,
né le 13 mars 1853,
Roubaix (59, Nord), décédé le 4 août 1903
(à l'âge de 50 ans), négociant.
o Paul Victor
Adolphe Cuvelier, né le 5 novembre 1861,
Lille (Nord), décédé le 2 janvier 1937,
Paris (à l'âge de 75 ans).
Marié avec Henriette Bulteau,
née le 24 mai 1861,
décédée le 12 décembre 1940,
Paris (à l'âge de 79 ans).
·
Françoise Agathe
Copineau, née le 17 août 1836,
Lille, décédée le 18 janvier 1912
(à l'âge de 75 ans).
Mariée avec Alfred Dumas.
Mariée le 7 mai 1856,
Douai, avec Alfred Jean
Baptiste Dumont, né le 7 mars 1831,
décédé le 21 septembre 1859,
Douai (à l'âge de 28 ans).
Mariée le 1er septembre 1862,
Douai, avec Elzéar de Négrier,
né le 15 septembre 1828,
Périgueux, décédé le 24 juin 1889,
Paris (à l'âge de 60 ans), général de brigade.
·
Lucien François
Le Thierry d'Ennequin, né le 27 janvier 1830,
Lille (59, Nord), décédé le 4 avril 1894,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 64 ans), entomologiste.
Marié le 31 août 1872,
Lille (59, Nord), Saint André, avec Anna Claire
Charlotte Bocquet, née le 3 juin 1850,
Corbehem (62, Pas-de-Calais), décédée le 4 avril 1928,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 77 ans), dont
o Claire Charlotte
Le Thierry d'Ennequin, née le 18 juillet 1875,
Lille (Nord), décédée en 1908 (à l'âge de 33 ans).
Mariée le 31 mars 1894
avec Auguste Urbain
Barrois, né le 28 novembre 1866,
Lille (Nord), décédé le 4 mars 1908,
Lille (Nord) (à l'âge de 41 ans).
o Louise Anna Le
Thierry d'Ennequin, née le 9 mai 1878,
Lille (59, Nord), décédée le 21 octobre 1925
(à l'âge de 47 ans).
o Lucien Marie Le
Thierry d'Ennequin, né le 18 mai 1881,
Lille (59, Nord), décédé le 30 décembre 1944,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 63 ans), astronome.
Marié le 28 décembre 1903,
Lille (Nord), avec Lucie Aimée
Marie Lefebvre, née le 9 janvier 1877,
Lille (Nord), décédée le 3 décembre 1965,
Lille (Nord) (à l'âge de 88 ans).
·
Désiré Marie Le
Thierry d'Ennequin, né le 18 décembre 1834,
Lille (59, Nord), décédé le 23 août 1898
(à l'âge de 63 ans).
Marié le 5 mars 1859,
Lille (59, Nord), Sainte Catherine, avec Marie Lucie
Octavie Smet, née le 23 avril 1836,
Lille (59, Nord), décédée le 24 février 1877,
Lille (59, Nord) (à l'âge de 40 ans), dont
o Charles Désiré
Le Thierry d'Ennequin, né le 6 janvier 1860,
Lille (59, Nord), décédé le 14 juin 1929,
Paris (75) (à l'âge de 69 ans), avocat, artiste statuaire, grand voyageur.
o Eugène Henri Le
Thierry d'Ennequin, née le 14 juin 1861,
Lille (59, Nord), décédée le 18 septembre 1861
(à l'âge de 3 mois).
·
Marc Frédéric Le
Thierry d'Ennequin, né le 4 septembre 1836,
Lille (Nord), décédé le 6 janvier 1885,
Lille (Nord) (à l'âge de 48 ans), chef d'escadron d'artillerie.
Marié le 25 avril 1876,
Lille (Nord), avec Céline Julie Marie
Charvet, née le 3 mars 1851,
Lille (Nord), décédée le 4 octobre 1896,
Lille (Nord) (à l'âge de 45 ans), dont
o Pauline Le
Thierry d'Ennequin, née le 29 juillet 1877,
Châlons-en Champagne (Marne), décédée le 19 décembre 1945,
Lille (Nord) (à l'âge de 68 ans).
Mariée le 23 octobre 1897,
Lille (Nord), avec Eugène Martin,
né le 6 janvier 1870,
Lille (Nord), décédé le 3 janvier 1930,
Lille (Nord) (à l'âge de 59 ans), directeur de société d'assurances.
o Clotilde Le
Thierry d'Ennequin, née le 9 octobre 1878,
Châlons-en Champagne (Marne), décédée le 30 juillet 1918,
Lille (Nord) (à l'âge de 39 ans).
·
Marie Catherine
Le Thierry d'Ennequin, née le 17 avril 1838,
Lille (59, Nord), décédée le 1er janvier 1886,
Menin, Nord (France) (à l'âge de 47 ans).
Mariée le 22 mai 1860,
Lille (59, Nord), avec Gustave Morael,
né le 27 juin 1828,
Wormhout (59, Nord), décédé le 2 septembre 1887,
Wormhout (59, Nord) (à l'âge de 59 ans), notaire à Cassel (Nord), conseiller général,
maire de Wormhout, dont
o Georges Morael, né le 15 avril 1861,
Cassel (59, Nord), décédé le 16 août 1927,
Boulogne-Billancourt (92, Hauts-de-Seine) (à l'âge de 66 ans), bâtonnier de
l'ordre des avocats, censeur de la Banque de France à Dunkerque, administrateur
de la Société Foncière du Nord et de la Mondiale, maire de Wormhout.
Marié le 16 avril 1890,
Roubaix (59, Nord), avec Marguerite Réquillart,
née le 1er mai 1868,
Roubaix (59, Nord), décédée.
o Gaston Lucien Morael, né le 23 juin 1862,
Cassel (59, Nord), décédé.
Marié le 2 octobre 1889,
Lille (59, Nord), avec Marthe Marie Merveille,
née le 29 mai 1869,
Lille (59, Nord), décédée.
o Gustave François
Morael, né le 23 juin 1862,
Cassel (59, Nord), décédé le 14 mai 1948,
Grasse, Alpes Maritimes (France) (à l'âge de 85 ans), courtier maritime.
Marié le 6 juillet 1895,
Lille (59, Nord), avec Anne Marie Varé,
née le 29 juin 1871,
Cambrai (59, Nord), décédée le 23 février 1918,
Paramé, Ile-et-Vilaine (France) (à l'âge de 46 ans).
·
Marie Hennet de
Bernoville, née le 25 juin 1850,
Versailles (Yvelines), décédée le 7 avril 1927,
inhumée, cimetière St Louis, Versailles (Yvelines) (à l'âge de 76 ans).
Mariée le 14 mars 1876,
église St Louis, Versailles (Yvelines), avec Amédée du Buisson
de Courson, né le 20 juin 1839,
château, Villiers-le-Sec (Calvados), décédé, sous-préfet, dont
o Yvonne du
Buisson de Courson, née le 9 mai 1878,
Versailles (Yvelines), décédée.
Mariée le 17 juillet 1899,
Versailles (Yvelines), avec René Cesbron
Lavau, né le 27 février 1868,
Angers (Maine-et-Loire), décédé le 17 avril 1915,
Saint-Mandé (Val-de-Marne) (à l'âge de 47 ans), chef de bataillon d'infanterie
(témoins: Charles Cesbron
Lavau 1861-1937,
Louis Étignard
de La Faulotte 1847-1906,
Georges du
Buisson de Courson 1839,
Léon Robillard,
baron de Magnanville
1851-1927).
o Pierre du
Buisson de Courson, né le 6 mai 1879,
Versailles (Yvelines), décédé.
Marié le 30 juin 1910,
Paris, avec Christine Scouta.
·
Paul Hennet de
Bernoville, né le 30 novembre 1851,
Versailles (Yvelines), décédé le 8 février 1940,
Venette (Oise) (à l'âge de 88 ans).
Marié le 23 juillet 1878,
Paris, avec Mathilde Monier,
née le 5 mai 1858,
Cambrai (Nord), décédée en 1946 (à l'âge de 88 ans), dont
o Louise Hennet de
Bernoville, née le 13 juillet 1879,
Laon (Aisne), décédée le 28 décembre 1963,
Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) (à l'âge de 84 ans).
Mariée le 9 novembre 1899,
Chateau de Vernette, par Compiégne (60), avec Maurice Séguineau
de Préval, né en mars 1872, Langres, décédé le 16 août 1961,
Nancy (Meurthe-et-Moselle) (à l'âge de 89 ans), lieutenant-colonel de
cavalerie.
o Julie Hennet de
Bernoville, née le 13 juillet 1879,
Laon (Aisne), décédée le 26 novembre 1967,
Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) (à l'âge de 88 ans).
Mariée le 11 avril 1904,
Venette (Oise), avec Gabriel Veyrier
de Maleplane, né le 23 décembre 1873,
décédé le 22 août 1913,
château de Maleplane, Saint-Léonard de Noblat (Haute-Vienne) (à l'âge de 39
ans), sous-directeur du Haras de Villeneuve-sur-Lot.
o Jacques Hennet
de Bernoville, né en 1880, décédé en 1908 (à l'âge de 28 ans).
o Marie Thérèse
Hennet de Bernoville, née le 14 octobre 1883,
Paris, décédée le 6 janvier 1982
(à l'âge de 98 ans).
Mariée le 22 avril 1904,
Venette (60), avec Ferdinand d'Anterroches,
né le 29 janvier 1877,
Paris, décédé le 25 novembre 1933
(à l'âge de 56 ans), avocat.
o Josepha Hennet
de Bernoville, née en 1884, décédée en 1980 (à l'âge de 96 ans).
Mariée en 1907 avec Louis de La
Brosse, né le 20 octobre 1877,
Saint Parize le Châtel (Nièvre), décédé le 25 mars 1969,
10 avenue Victor Hugo, Paris XVIème arrondissement (à l'âge de 91 ans),
officier de cavalerie.
o Elisabeth Hennet
de Bernoville.
Mariée avec Joseph d'Anterroches,
né en 1888, décédé en 1986 (à l'âge de 98 ans).
o Amélie Hennet de
Bernoville, née en 1891, décédée le 10 novembre 1938,
Venette (Oise) (à l'âge de 47 ans).
Mariée le 5 novembre 1917,
Venette (Oise), avec Robert de La
Brosse, né le 27 juillet 1891,
Ternant, Orcines (Puy-de-Dôme), décédé le 5 mai 1975,
Arles-sur-Tech (Pyrénées-Orientales) (à l'âge de 83 ans), capitaine
d'artillerie.
·
Clotilde Hennet
de Bernoville, née le 30 janvier 1853,
Versailles (Yvelines), décédée en 1939 (à l'âge de 86 ans).
Mariée le 21 avril 1879
avec Léon Robillard, baron de Magnanville
(3e), né le 16 février 1851,
Montpellier (34, Hérault), décédé le 24 janvier 1927
(à l'âge de 75 ans).
·
Clotilde Fanny
Hennet de Bernoville, née le 5 novembre 1860,
Versailles (Yvelines), décédée le 1er mai 1936,
Le Chesnay (Yvelines) (à l'âge de 75 ans), sans profession.
Mariée le 8 janvier 1884,
Versailles (Yvelines), avec Gaston Marie Albert
Le Forestier, né le 15 août 1855,
Mantes-la-Jolie (Yvelines), décédé le 23 janvier 1941,
Le Chesnay (Yvelines) (à l'âge de 85 ans), officier de cavalerie, dont
o René Le
Forestier du Buisson Sainte-Marguerite, né le 22 février 1885,
Versailles (78, Yvelines), décédé le 14 juillet 1963,
Le Chesnay (Yvelines) (à l'âge de 78 ans), lieutenant-colonel de l'armée de
l'air.
Marié le 7 avril 1923,
Poitiers (Vienne), avec Marguerite Bodin
(2 enfants).
o Louis Le
Forestier, né le 1er octobre 1886,
Versailles (Yvelines).
o Charlotte Le
Forestier.
o Isabelle Le
Forestier du Buisson Sainte-Marguerite, née le 10 août 1889,
Versailles (Yvelines), décédée le 9 mars 1972,
Paris (75) - 17e arrondissement (à l'âge de 82 ans).
Mariée le 28 juillet 1920,
Le Chesnay (Yvelines), avec Henri Juglar,
né en 1885, décédé en 1960 (à l'âge de 75 ans) (témoins: Xavier Le Boucher
d'Hérouville 1887-1961,
Henri,
baron Evain 1878-1947, René Le Forestier
du Buisson Sainte-Marguerite 1885-1963,
Léon Robillard,
baron de Magnanville
1851-1927)
(mariage religieux célébré en Juillet 1920 en l'église St Antoine de Padoue, à
Versailles, Yvelines; 5 enfants).
o Roger Le
Forestier.
·
Valery de
Raveneau, né en 1849, décédé le 8 octobre 1863,
Près de Guise (à l'âge de 14 ans).
·
Henri de
Raveneau, né le 8 juin 1854,
Noyal (Aisne), décédé le 10 janvier 1855,
Versailles (à l'âge de 7 mois).
·
Denis de
Raveneau, né le 11 mai 1860,
Versailles, Yvelines, décédé le 25 juin 1930,
Nantes (44) (à l'âge de 70 ans), propriétaire.
Marié le 25 avril 1892,
Paris 7e (75), avec Marie Clémence
Blanc de Manville, née le 17 août 1871,
Paris 8e (75), décédée le 5 mai 1960,
Saint-Florent-le-Vieil (49) (à l'âge de 88 ans), dont
o Yvonne de
Raveneau, née en 1893, décédée en 1963 (à l'âge de 70 ans).
Mariée le 4 avril 1923,
Paris, avec Raoul de
Saint-Pern, né le 19 avril 1889,
château de Montmoutier, Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire), décédé.
·
Valentine Hennet
de Bernoville, née en 1862, décédée en 1961 (à l'âge de 99 ans).
Mariée le 4 mai 1884
avec Auguste de
Martimprey, né le 29 août 1852,
Bagnères de Luchon (31), décédé le 31 janvier 1935,
Aisonville Bernoville (02) (à l'âge de 82 ans), officier, aide-de-camp du
général Japy, dont
o Andrée de Martimprey, née le 15 février 1885,
Paris, décédée le 13 janvier 1983,
Paris (à l'âge de 97 ans).
Mariée le 26 juin 1911,
Paris, avec François de Chavagnac,
né le 11 septembre 1881,
Gennetines, Allier, décédé le 19 février 1942,
Varennes-sur-Allier, Allier (à l'âge de 60 ans).
o Antoinette de
Martimprey, née le 24 décembre 1886,
Paris, décédée le 30 octobre 1985
(à l'âge de 98 ans).
Mariée le 24 avril 1912,
Paris, avec Louis de Chauvenet,
né le 1er avril 1882,
Paris (75) - 8e arrondissement, décédé le 8 août 1914,
Bastogne (Belgique) (à l'âge de 32 ans), lieutenant au 22ème Régiment
de dragons (1914†).
Mariée le 13 décembre 1920,
Paris 8e, avec Gaston du
Passage, né le 11 mai 1885,
Tronchoy (80), décédé le 15 janvier 1961,
Paris (75) (à l'âge de 75 ans), lieutenant-colonel de cavalerie.
o Pierre de
Martimprey, né le 29 juillet 1890,
Aisonville-et-Bernoville (02, Aisne), exécuté le 14 juin 1944,
fusillé à Guise (02, Aisne), inhumé, Bernoville (02) (à l'âge de 53 ans).
Marié le 15 avril 1925,
Paris (75) - 6ème arrondissement, avec Jeanne de
Bérenger, née le 1er mars 1900,
Paris (75) - 8ème arrondissement, décédée le 21 janvier 1984,
Paris (75) - 15ème arrondissement (à l'âge de 83 ans).
·
Germaine Hennet
de Bernoville, née le 14 novembre 1858,
Paris, décédée le 8 septembre 1940,
Versailles (à l'âge de 81 ans).
Mariée le 20 avril 1880,
Versailles (Yvelines), avec Augustin Lucien
Hennet, né le 14 mars 1852,
Grenoble (Isère), dont
o Marie Germaine
Odile Hennet, née le 31 mai 1882,
Versailles (Yvelines), décédée après 1924.
Mariée le 28 avril 1906,
Paris, avec René
Pairier-Wolodkowicz, né le 14 juillet 1872,
Bordeaux (Gironde), décédé le 15 avril 1915,
Bordeaux (Gironde) (à l'âge de 42 ans), capitaine au 62ème régiment d'infanterie.
o Adélaïde Cécile
Hennet, née le 5 mars 1884,
Versailles (Yvelines), décédée le 28 juin 1976,
Versailles (Yvelines) (à l'âge de 92 ans).
·
Louise Hennet de
Bernoville, née le 23 mai 1860,
Paris, décédée le 22 juillet 1940,
Saintes (Charente-Maritime) (à l'âge de 80 ans).
Mariée le 27 janvier 1880,
Versailles (Yvelines), avec Maxime Hennet de
Goutel, né le 13 juin 1855,
Cogners (Sarthe), décédé le 21 janvier 1911,
Paris, inhumé, Cimetière Saint-Louis, Versailles (à l'âge de 55 ans), dont
o Etienne, baron Hennet de
Goutel, né le 25 janvier 1881,
Versailles (Yvelines), décédé le 4 juin 1940,
Cogners (Sarthe) (à l'âge de 59 ans).
Marié le 29 juin 1928,
Paris (75) - 16e arrondissement, avec Germaine Antoinette
Nicole de Lenfernat, née le 16 mai 1890,
Paris (75) - 8e arrondissement, décédée le 27 mars 1972,
Parigné-l'Évêque (Sarthe) (à l'âge de 81 ans).
o Paul Hennet de
Goutel, né le 10 novembre 1883,
Versailles (Yvelines), décédé le 10 septembre 1950
(à l'âge de 66 ans), inspecteur général des Haras nationaux.
Marié avec Sabine Le Noir
de Becquincourt, née le 29 octobre 1888.
o Charles Hennet
de Goutel, né le 8 février 1886,
Versailles (Yvelines), décédé le 10 septembre 1976,
Rouen (Seine-Maritime), inhumé le 13 septembre 1976
(à l'âge de 90 ans), général de brigade.
Marié avec Arlette Achard
de Bonvouloir, née le 8 juin 1892,
Paris (75) - 8e arrondissement, décédée en 1968 (à l'âge de 76 ans).
Mariée le 5 août 1912,
Versailles (Yvelines), avec Gustave de
Frévol d'Aubignac de Ribains, né le 28 août 1857,
Rauret, Haute-Loire, décédé le 17 mai 1926,
Versailles (à l'âge de 68 ans), colonel de cavalerie (c.m. du 30 juillet 1912
reçu Vingtain, notaire à Paris).
·
Louis Lenglart, né le 31 janvier 1837,
Wattiessart (59), décédé le 25 novembre 1913,
Wattignies (59) (à l'âge de 76 ans), propriétaire.
Marié le 4 octobre 1874,
Espierres (Belgique), avec Clémence Ferret,
née le 3 mars 1848,
Espierres (Belgique), décédée le 22 octobre 1925,
Wattignies (59) (à l'âge de 77 ans), dont
o Louis Lenglart, né le 18 juillet 1875,
Wattignies (59), décédé le 10 mai 1956,
Arras (62) (à l'âge de 80 ans), conseiller à la Cour d'Appel de Douai, puis
Président du Tribunal Civil d'Arras.
Marié avant 1900 avec Madeleine Henseval,
née, Béthune (62).
Marié le 1er juillet 1913,
Hem (59), avec Louise
Deffrennes, née le 14 octobre 1889,
Lys-lez-Lannoy (59), décédée le 31 juillet 1982,
Armentières (59) (à l'âge de 92 ans).
·
Jules César
Lenglart, né le 23 juillet 1838,
Wattiessart (59), décédé le 9 juillet 1841,
Wattiessart (59) (à l'âge de 2 ans).
·
Jeanne Catherine
Lenglart, née le 19 novembre 1840,
Wattiessart (59), décédée le 19 septembre 1847,
Wattiessart (59) (à l'âge de 6 ans).
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Adèle Lenglart, née le 10 février 1843,
Wattiessart (59), décédée le 2 novembre 1899,
Wattiessart (59) (à l'âge de 56 ans).